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et autres maladies épidémiques
yv| * „	Le manque de l’utile connaissance générale, d’Olin
( Z * O	peu de physique et d’hygiène, est et sera longtem*
encore le malheur public de bien des nations^	r>
par
T A Y E R N I E R A L CIB IA D E/
Docteur en médecine, Chevalier de 1* ordre de Jérusalem, descendant du célébré voyageur dû •e nom, et aucien médecin en chef de P Inspection générale dcValachie	r
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DE L’HYGIENE
L ’Hygiène étant fort peu comme dans le monde, il est indispensable de ne pas en donner ici un apperçu abrégé, sa signification et sa division,
Elle est la science quj traite de la manière dont
homme doit se conduire a 1’ égard de la conservation de son individu dans son état animal, et lui impose en meme teins la loi de surveiller a la propagation , T amélioration physique de son espèce ? outre que sa sollicitude doit s 5 étendre également sur celles des animaux soumis a son empire, les maintenir en santé et remédier à leurs maladies • cette dernière partie regarde l’art Vétérinaire.
Elle se divise ordinairement en quatre parties : la première indique les différents étàts de santé, l’i$ fluence générale sur 1 ’ homme et les animaux de matières hétérogènes et dos élémens ; les diHérences particulières ^relativement à l’état de faiblesse et de force ; la seconde comprend Y examen des substan «es qui agissent d’une manière générale sur l’homme et les animaux,tel que l’air rempli de miasmes nuisibles, I ’ humidité des forets marécageuses, sur tout celle des marais salins etc. etc. ; celqi des corps dont 1’ action est particulière à quelques parties d’ un animal, tel que le joug, 1 ’ arnachementetc; la connaissance des matières nutritives servant à l’aliment des forces, ainsi que des liquides, et en-fin les effets 9«e produisent le sommeil, l’état	AtyiAOJ HopoioACI, ttll Mi M5 c ÉA\,Z
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,.^veÜ1e, le repos et le mouvement} la troisième con-j M Cïfm m, A. .
cerne l’application du régiiMc suivant l’état où se- a mafO.fA. A$KfAÇt ÇtTl ndçtÏK^Aiç* M #HfÂt % trouve l’homme par rapjS^rAu tenipèrament ,j!najrt|l A AI MeÎtckVaôÏ , «st^fA fctTi atÜM?A > l’âge, la stature, le sexf^Je	AUTI JlIAOf
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Les Symptômes diagnostiques et affreux q11* aîmon~; cent Finvasion certaine de cette funeste maladie dans; Un	soht ceux-ci : (i)
f^^Êtëtîïenrs d’ estomac, céphalagie violente, vertiges, syncopes, nausées, coliques très douloureuses, crampes insupportables aux membres inferieurs particulièrement ; pouls petit et fortement concentré les extrémités froides, une altération rapide de la figure se fait remarquer de plus en pins . Il s 5 en suit bientôt d ’ horribles efforts de vomissemens quelquefois sans effets prompts, ce qui atténué de plus en plus le malade ; des crispations et des tiraille-mens d’entrailles inexprimables; une fièvre violente, dont les effets accélérés et progressifs d’un moment a l’autre, offrent les signes les plus alarmans pour la vie du-malade; et souvent pour celle des; individus qui F approchent en tems épidémique, lorsque surtout elles le touchent an corps aux véte-mens, au qu’elles respirent son haleine. (2.)
Les matières fécales et autres qu’il rend bientôt par bas et par haut, font naître en lui une inappétence extrême contre tous les secours internes* laquelle parait subitement et disparait de mêmes, Le malade les réclamé avec transport et soudainles refuse avec unç horreur non moins grande et non moins précipitée ; il les reclame encore et les abhorre aussitôt, vu les’vomissemeHS continuels de matières aivines d’un liquide vert-bleu et souvent brunâtre, ce qui annonce une mort presque toujours certaine en tems épidémique; mais quand ces matières
( 1 ) : Cette observation 11e regarde toute fois que les personnes dont les circonstances ou la fortune ne per mettent pas à même de se procurer les secours de , la médecine, surtout dans 1’ orient ou son utile bienfait 11’ est pas généralement répandu-[comme en Europe.
(2 ), On a remarqué en Russie , à Jassy et dans d’autres lieux de la Moldavie, chose que j’ai aussi observée en Asie, que peux qui ont été requis pour appliquer les sangsues, sont tous morts, donc le! Copiera se communique comme la peste par Fat- ■ loucbement.
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s#nt de couleurs blanchâtres, muqueuses bilieuses «t rendues non moins frèquement, et brusquement (que les premières , elles annoncet F endémie propre au elimat ou un accident particulier, il y a alors espérance de guérison, lorsque les secours dont nous avons fait usage long-tems en Asie , ou ceux des médecins dont F expérience a consommé la pratique, sont administrés à tems opportuns et avec prudence, faute de quoi le malade terminebi CUtôt sa, vie dans des angoises terribles.
Il faut cependant bien se garder de confondre avec le Choléra, P Entérite, la Péritonite * P JE tranglement interne , P Ileiis et la Gastrique dont les signes dagnostiques ne différent que de peu .de chose et ne sont point contagieuses; mais leur traitement doit à'peu de chose près être celui du Choléra, principalement pour F Ileiis et P Etranglement idttoîé; car je ne considère ces deux deüpf'iïïrs :Càfs que .comme un choléra bénin HDeptffs moue&périoneë d’ Asie , il s’ est offert à > ma pratique plusieurs cas semblables aP orient de Pt Europe; fai employé mon traitement du Choléra, que je détaillerai plus loin, il m’a toujours parfaiteinêût j’éussi .	’
A cette occasion, nous crcyqps qû’ il pourrait à peu de chose près être aussi appliqtiable aux autres^ maladies susmentionnées. Cette maladie, endémique aux Indes orientales, au centre de l5 Asie1, où jëj l’ai vu il y a dix ans, y est locale, comme la fièvre jaune en certains lieux d’ Amérique, la peste en Egypte et dans tout le nord de la Turquie d ’ Europe, outre P endémie fébrile en Valachie, qui aies mé-; mes caractères que celles^ du nord de la Krimée, de
la Circassie, de la Géorgie, etc . etc.
Aujourd’ hui ce même Choléra désole la Moldavie , bientôt toute la Vaiachie, la Pologne, e£ en core beaucoup de Gouvernements en Russie . D’à-prés la Chronique des Russes, il parcoure le m*eme chemin chez eux, qu5 il a suivi il y a 200 ans à la suite d’une guerre que cette nr.fi m faisait pour la conq ; êit j de la Sibérie,et ne fait pas moins de victimes.
Ce qui n’ est pas peu intéressant pour îe philoso-ph ;, c’ est qu’il produit, selon les climats et leurs endémies particulières, des phénomènes divers et étonnants. Change de caractère dans un empire, ré-j.
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C*MT A* 0$ÀljZ AAKlHOACa, M^KoAIZ, MHI’h W-tZ>Ull CKOACZ A(f>A^ft TOT AUiA A1 A(C	AUtA A *
fHTfAKZ KA Uil MIAI MAI AÎhAIHTI» BifTf fM RhA** «IA Mff ÇlTI A KAlMiT CA# AATZ ^HTXMflAAÿl MfTÎK^AA^Z , Ull AT^HM] ÇCTI HZAI5KA{ A* TZMZA^iÇ* » AAKA A^TOA^IAI KA{»« moi AI AM fHT^IKVlHlJAT M^ATZ 8ÇIMI 4H ÆsÎa » CA# A Al A0<{>T0j>ÎA0f, A KZfOJA (• KCniÿîlHtlZ ( Mf (>KA-f* ) a A*tas*fuiÎT njaktÎka ao(>, boç4>î Âh-TflK^ÎHliATI AA BÿCMI K^bÎÎhMOACZ Ulî ütf E$-MZ CCttOT^AZ ; Mÿ AÎiuÎhA AMIÎT-k EO A HA*
b^a ÂHrfAE 41111 itrrjzstijJt biaisa 4. h * rço^iTOAÿf .
Tfrttf* Gz ci EAyi kÎhi Aic^aa? m ah^ 4M((T(KÀ X«AlfA KOAAiAI Ml Cf M^MICK î ShTIJÎt , . Hi^ÎtomÎt , C^rj^MAJ'fe AlHAZ^H-T^»|lAt^ , lift ratTfÎKA AAI KZfOfA Cf-«-Ht.^A^NOCTlSI	Cf AfOCEEfCK A« XS'1*
A\?Kf^ , Ull hV C*HT AÎrilMOACI ; AAf a’itKAO^A TZMZA^ÏçiÏ ÇCT* MAI TOT XA AA KoAf^î , MAI C^MZ flIHT^ ÎAftë Ull C^* r^MAfi AÎ^AZ^HT^, flfHTfV? KZ Al AMICT'fe
amrmaoz mai A\?nz 4TAMnAXÿï ai CoKotick Aikst ka ni 0 XoAtçz ea^mA** AÎh EflM^ MIÇKSÇÎ MIAI ÂH ^cÎa»mÎ CA 4H-TRMÜAAT KA CZ KA$T MAI mVaUÎ K^
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prend dans un autre soft état primitif, ou s’ ns3*"'^HTffK^îmjAlO KJn$A KAf* Cl KA$TZ XoAf-mile à F endémie nationale, la rend épidémique et-‘j* , Atfltp KAff 10» CRfl	aiaï
AABAAf ) Bli TÔT A A^MA AÎCK&riT «tc.'Ie KÎUf .
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parcoure ainsi, je crois, éternellement toute surface du globe sous des noms différents! .
Et certes, jlest incontestable que le Choléra, là Peste, la Fièvre jaune et autres maladies contagieu$$| n’ aient pour base des substances délétères toutes meme nature, vagabondantes à là surface dans les airs, alimentées sans morbifiques que1 dégage. Ja de matières animales e$ bientôt et forment. sens un nouveau
lalçl ," des vents;? dU s, qu'ils descent oü1 £|d\is ou moins gr andes ^ jktà^tenf priûcip e'ment aux lieux Ée jadis la mer ou autre inondation, dans l£adimats chauds particulièrement, et où s’y trouvent habiter des grandes réunions d’hommes et d’a-3îmaux, chose qui fixe particulièrement son attention . -— La Peste, le Choléra ou fièvre jaune ee CQ^^ntre tout à 'Coup sur un ou plusieurs de ces pointsy^sparaît, réparait, franchit les mers, accompagne les navires, les armées et semble être une espèce de sauterelles invisibles désolant sou Vent une nation ou plusieurs a la fois. ( 1 )
( 1.) je V ai vu produire un phénomène bien singulier chez plusieurs scrofuleux et scorbutiques; il leur a excité le rire à outrance, chose que J* ai observé aussi dans des fortes convulsions, et terminait la vie des malades très promptement. Chez ceux d’Uu tempérament colérique ou bilieux, leurs souffrances indiquaient le siège du mal dans 1 - abdo mène , et présentaient une partie des signes dia gnostiques de 1’ Iléus, je voulu plusieurs fois faire V exploration de leurs cadavres; mais les Tatares et antres peuples d ’ Asie, ont un grand respect pour les morts, et disent à cette occasion, que les hom mes sont assez tourmentés pendant leur vie, et qu’ on ne doit- pas les outrager après leur mort J’ ai eu beau insister, en faisant envisager que la justice ordonnait partout en cas d5 empoisonnement de pareilles explorations, pour qu’ elle puisse porter ses jugemens aveç sagesse; que 15 Empereur Na ^poléon ( non moins extraordinaire parmi eux qu’ en " Airope ) avait subi F exploration après la mort, je imi J>u convaincre
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MXMT^A^Ï C^KT h\?AH| A^tÎKÏTt. 1ULÎ |hAOAA* ÇCtI A‘fAT, KZ X«AlfA y AAAy ^fir^fÎAfrAAKÎHI Ulî A ATI KOAAf AllUTOAn Cf àti Al TIMfW Hlllll $iÎHl}l OMOfRTOAff TOT
A* AHrfe HAT^fZ, pTZHÎHA ^HROAHÎ ^HKOA't ni AAtyA.naMKHT&ltft Ulî Alf^fl y ^pNÎTI HI^HIITAT AI MÎ4JÇMI KOAHZ*ÏHoAC| jfuff* e|<» AiiuAfTz ujiiH Àotnïf'fe nfrfiA* .0 Tlfîï A{ BÎl^ÎTOAfl Ul| Al flAAHTI y *
_ 8 —
J’ai aussi vu, il y a trois ans, en Valaclne environ a5,oo o boeufs, abandonnés à la nature dans un désert immense rempli de bons pâturages et d’ eau, éloignés à plus de dix lieues des endroits .habités • 1’ Epizootie les a tous ravagés en moins de huit jp-j urs et donné la mort à plus de quatre-vingt mille autres ; tandisque sous le nom de peste,; de typhus, de lièvres interuiittehtes, rémittente^ et MàK^^;, de fièvres a^ynamiqUesy hiî^^., ^striq^, avec pétcctiès'/• le-èéati- délétère décimait les iommes dans toute la Turquie, d’Europé; il m’enleva alors aussi une jeune époque, sage et vertueuse et d7 Aimables enfans? que, P activité du service public don* f étais chargé alors, exigeant impérieusement une absence continuelle de chez moi, je fus hors de tous moyens de pouvoir les sauver, comme je le fis à P 6-gard de mâ personne, que la peste n’a point épar gné non plus; elle pa’ à laisse pour souvenirs de tris tes regrets !
Delà, nous concluons, que les endémies nationales ne sont que des brasiers différents recouverts de cendres , et qu5 ils sont toujours prêts k s’ enflammer au premier soufîe contagieux; que ces foyers diffe-rens sont les marais, les plages maritimes, lescimé~‘ tières, les grands champs de batailles, les voiries,; les prisons, la malpropreté des viles et des habitaiisj-le grand nombre d’hôpitaux réunis dans un lien sur-J tout assiégé; et en général, tous les endroits ou des «orps morts se décomposent à l’air ou recou verts de’ fort peu d’ humus où de terre; tel quJ ajassy, dahs toutes les villes des deux principautés et principalement à Bucareste, où il y a 270. cimetières dans la ville, c’est à dire, autant qu’ il y a d’églises, oùles morts ne sont enterrés qu’ à un tiers delà profondeur qu’ il convient.
Cette Capitale a mortalité commune s5o à 3oo morts par mois qui font autant de foyers d’infection; outre les tanerjes, mégisseries, boucheries, les chiens, chats et autres animaux domestiques crevés et qu* on laisse putréfier dans les rues ou dan |
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la fange stagnante des quarties de la ville; les imj niondiccs encombrées depuis long tems sorft les rues! planches ; la petite rivière 0^ y passe dans laquelle on y dépose toute la matière fécale,^ et celte, eau
sIhick *Annji^Ka *«rpdKX uii	\?h xi mi ÿ!
OS Hllt K A* MOAiMX ctf«V O Mâts* H^oa i CI ÂMAfinT^i ahc£ A^fix */«nÎHyiji’fe
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Mai aiîiÏ ni MipyÎHÎAiAof $ C» A^ri Mai k# re^«* A* aok^jÎai $hai oAhîoAp* a <j>ocj wa^4 caVaats sapea-rfy* Af aux, maÏ a^o-
KAlMIAI HIAI KAAAt? Mil	At-
lÿlCK MAfl AA^HXfï Af OAMÉMÏ «fî Af AeKlTtA-Hl » A^Kptf KAJf HlÇt .0 AlAf£ KirAJI £{ C^MX . M^MA, XoAlpA CA«4>pT^ÎAI rAAElHI Cl KO K** «HTp^a hIImaï A‘ ActfnpA Mï calmai a^ati n^HT^l AÎhtj AHiCT-fc ; nirjt, ci a-AVrXîâj,*, T^IHl MlplAI »	*HT083:fXU!à!|lI
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.CTîlMEMXctffAT» nAlHX Af n*ilîV.;Hl K S? HE Uli
A* Afia, Afn*fTAiiï mai m#at a* 10 Airt a« aok^Îai A*K'^in niKAfi Gni^oTiA là nfxna-AÎt *hmaÏ n&j.in Ai 8.3îai». uiÎaoai<>p*t lui ni AAl^l MAI M^AIU A£ 80 000 » *HfcffM( * i
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AI cfe-MS Uli -Â'H ^ïfaMST^fÎAI Mf Al T A pi
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- 9 -
sans être clarifiée sert k faire le pain et autres ali-, tneus ; nu grand marais qui infecte dans le centre de tonies les habitations, outre une grande quantité de morts qui y sont enterrés en masse à une petite profondeur; pouvant pour ces derniers^ yu^du?grand nombre, employer la diaux vive, moyen qifi, en dé -Composant lés cadavres purifie en méi$e tems Y air? fimtèdeqnQi le choléra " peste tuera à son arrivé ' *Vec tous ces auxiliaires, ' le reste des infortunés habitai!s de cette ville. Il ir y a à Bucarest que les personnes peu riches qui l’.habilcnt en tems critique • car les opulens îa fuient ordinairement au moment du danger; alors ils jouissent, à leur retour, du fruit et de T indus'tie des survivans et de V licroique Courage 7 mille fois autlessus de celui ci’un militaire, de quelques médecins philautropcs, qui deviennent en quelque sorte- les dieux tutélaires de la nation, mais à 1' égard de qui ou méconnaît; en la plupart? les services qu’ ils ont rendus, ayant fait abnégation de leur existence cent fois par jour, et sacrifiant jusqu’ à leurs familles pour le bonheur public •

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des individus pendant
% durée du Choléra et autres maladies épidémiques *
Evitez surtout les causes externes ainsi que les] internes; les premières sont produites par la réper" èussion de la transpiration, causée par Ja transition subite d’un air sec à un air humide et froid ;!< d’un air chaud a l’humide froid ; l’attouchement du-•orp# et des vctemens d’un individu attaqué de l’épidémie, aussi bien que d’en respirer l’haleîne, Ou se trouver exposé près de lui à 1’ opposé du vent Ote. ete.	|
Les causes internes sont produites par la peur, les différents foyers de matières animales en putréfaction
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(1) Chose commune en Orient, ou les propriétaires des bestiaux font du pastrama ( espèce de Viande salée et séchée à Pair, mais qui s'ycorromp bientôt en terns contagieux) tous les automnes tem* épidémique ottnon ; font tuer, saler et sé
MJ Mât hÿ ci A»* Hfl r^AElHÏ ; KâCTJA&tiy * Ÿ Câti CXAATZt Mil	a^Mdf/KAllï C*M t
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x’.e -sortir de son habitation le matin et le souque Lien vêtu, surtout dans les lieux marécageux Ne mésahuser aucunement de son tempérament ; ne boire jamais d’eau sans vin ou y joindre du jus de uitron, ou tout autre acide potable et à la glace autant que possible en été. Etre de meme modéré h l’égard des liqueurs spiritiéeses p prendre dé légers purgatifs tous les dix à quinze jours $ observer rigoureusement l’usage du BAUME-ÀNTICHOLERA. dont la recette mit vers la fin de ce livre a l’ar ticle : v Notes diverses.
>
D’après nos observations en Egypte, en Syrie, surtout à Jérusalem et dans tous les lieux marécageux du centre de l’Asié et de l’orient de l’Europe où a séjourné longtems la mer; le long 3 e la ligne mi litaire Sibérienne, ensuite en Moldavie etValachie. où notre philanthropie nous a aussi appelle pour y observer I’ endémie du climat; nous avons recouru que toutes les maladies épidémiques propres à ces contrées, ont pour causes essentielles ce que nom avons exposé plus loin, joint à la manière de vivr* et la malpropreté des liabitans, objets qui causent
t}ier indistinctement les boeufs attaqués d’épizootn . J’ai vu vendre-dans les villes la chair d’animaux qi.* avaient le Charbon épizootique-; mais les boucher oui avaient en la témérité de commettre ce crime en jurent victimes les premiers; ils moururent tu la'pesle que leur avait communiqué l'attouchement de ces animaux, et les malheureux qui en mangent *ja viande éprouvent incontestablement le même
sort J ---De meme les marchands de poisson e>
gros, en font peclier à la débâcle des lieu v es tu. piintems une grande quantité à la fois ; il est dé parqué et jejt.é sur le rivage, entassé i’nn sur l’an Ire, chaque barque en augmente les monceaux; or continue chaque jour, et on occupe les pêchers à le saler quand la pèche n’est plus favorable; le dernier pris est le meilleur, et quand ils arrivent au dessous, il est en putreffaction ; on le sale et vend de même partout. Voila encore par ces deux âli-rurns eu usage toute Vannée, l’essentiel de l’endémie nationale et pestilentielle. JIest a désirer que t- gouvernement prenne des mesures relatives a V égard de ce dent il est question den chargeant des médecin^, physiciens dé la surveillance de eette impoitante chose •
CX	»4?!E HTH:fS£!îi'fi A?HI KdfA CA A^AVR
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tç> aatx B^iAfti ; asfiiJÎa tae expiez, mi c$?x	AEocIgpc soi acrîijï a* Gnijjoo-
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Af SITE KAj>£ AS’fe hZJK^HEAE ÇllpOOTlK ; A<^ AAXHfAdjii Kdfî a AB^T qHAÇ'X^H-feAa A* <* ■pHE AHJCTZ JX^TATE A$? (ftOfT fKEJTBE 6ï A»«ï
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— 13—
la détérioration * de leur système lymphatique ; tel que chez tous les peuples du nord, lesquels sont renfermés pendant neuf mois de F année, que Phi-ver rigoureux les retient dans des habitations insalubres et peu spacieuses; que toute une famille et plus occupe et finit par produire comme chez les Juifs en Pologne et ceux de Moldavie un cloaque qui est la source incontestable de leurs endémies nationales. Aussi nous avons observé, il y a deux ans, que les Juifs fugitifs des différentes provinces de la Pologne, aujourd’hui fixés dans la Turquie de l’Europe, que si-tôt qu’ils étaient attaqués de la peste, ils devenaient pour la plupart des l’instant d’un jaune brunâtre et présentaient quelques signes diagnostiques de la fièvre jaune des Antilles,
phénomen qu’ offre encore aujourd’hui le Choléra parmi eux et les Tsiganes ou Bohémiens, peuple originaire d’Egypte (i) esclaves des Boyards üomano Moldaves, où il fait beaucoup plus de ravages que parmi les autres individus. J1 n’ est pas moins remarquable en cet?g circonstance, que le Choléra produit dans les races d’hommes européennes en Moldavie un autre phénomène : parmi ceux qui en sent attaqués, chez les uns il garde son caractère’ p.viinifif, chez les autres il est peste; on voit de ses victimes avoir des Bubons, le Charbon, l’anthrax et des pétéchies. —- De plus, nos observations journalières nous portent à assurerd’après les accidents de peste qui arrivent continuellement dans les deux principautés ça et la, malgré les soins i aelés de la police médicale, que la peste y est lo cale, comme elle l’est en Egypte, le Choléra en Asie, et la fièvre jaune aux Antilles.
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(î) J1 paraît tu la passion que. ce peuple a pour!-	..	^	3
jouer different.» instruments de musique, ses chants	C^HT pTATOjHTtHTilJtl Toj>H|A 6of®0f«
et ses danses sauvages mais cependant mesurées, M-kt*S , KZK^T Hl aV ^OtT AoBTUJlï A* que ce sont incontestablement les descendants des H^,n“ A,K;RT C2 M rAAKt„V EtlHHum Bâchantes des anciens Grecs ; vu leurs passions en-y 4	^	^•
. core aujourd’hui de baçhanaliser dans les rues et,	CiMHf ^ÏArNoCTTIHf
Jeurs femmes de sauter, danser et crier comme <fcs} rt^AÛ rAAKfHI	iÎHTÏAf, ÿtHOMIHf KàfM AÀ
taries, prédire F avenir aux passants, etc. Jls ont! n -•	^	* v	H
- aussi familiarisé le^peuple russe à leurs habitudes! LJWUI* tlltl AfTX^îl XoAf|4	Çît
k #aj|eeu|es et, obscèaq? ^	f



Lâ*
Ci 44 +*.
Ctee&fcMS ïnttfiu&qne* n’en attendent toujours n$T^A	©rtnT (1), . f»Bft *n Hot^A^
une occasiatielle pour commettre leur invasion , Vu qua tout le reste F alimente sourdement. Le manque de l’utile connaissance générale, d’un pe u de physique et d’hygiène est, et sera longfertis encore la source des malheurs de biens des nations. Aussi les gouvernemens des parties les plus civilisées de l’Europe, ont senti, il y a longtems cette importante vérité j car leurs endémies nationales ont ^parues pour toujours du sol protégé par leur sa gesse. La Hoilahde doit à cette occasion un monument éternel de reconnaissance à T Empereur Napo léon pour avoir tout à la fois rendu ses marais labourables en y faisant pratiquer, tant pour le commerce que pour y détruire F endémie, des canaux en même teihs navigables et utiles à F écoulement de ses tau& marécageuses.
Ainsi donc, l’usage d’aîimens sains, de vieux vins pour les personues fortunées, pur ou coupé a vec de l’eau filtrée ou clarifiée , lorsqu’ c*lle ne pro vient pas de sources pures; de la bière, et en général de boissons fermentées selon les localités; et fn leur défaut la limonade, l’eau de gomme arabique dans la quelle on ajoute quelques morceaux d’écorce d’orange, le K vas chez les Eusses, le Braga chez les Rômano - Moldaves. ( 1 )
( 1 ) Le Kvas est une boisson faite de farine de «eigle, mélée ou seule} on y ajoute souvent de la farine d’avoine, de millet ou mil ; on en forme line pâte aigre qu’on fait cuire au four un peu moins que le pain. On la met ensuite par morceaux dans mi tonneau à large bonde, que Fon remplit d’eau bouillie ; après la fermentation on le bouche et on Je place en lieu frais, cave etc : il est alors potable-Le Braga se fait de faune de Mil seule et subit à peu près la même opération que le Kvas . Cea boissons des pauvres gens ou elles sont eu usage, et des riches en Russie,sont très saines, réfraichisentes efr analeptiques ; prises à la glace en été, elle-sont alors, vu le principe acidulé - électrique , tou niques eCeunetnies des miasmes morbifiques qu’ enfante le calorique en teins contagieux ou non . Observant toutefois, qu’étant échauffé, il serait à pro pas avant de s’eu désaltérer de boire un peu de liqueurs spiritueuses quelconques, pour ne pas éprouver quelques douleurs intestinales, vu F échauffe-men|; ensuite mi boire k discrétion. —~
P&«*ho,4Ïôaaobihîi f iu twpn .fw npxnSAWt
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AljlinT* TOT (\â'r»A A AT A* pÎAiîK «î:< RIHTptf Alliï	R*K3t Aif 4 A$p ,
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Al^ivilH*» f*T* *'i M<p M&lTTBpi-
Ml JCBop^A Hl ^ipillpiAop A AaVatcÇ HAIljï.
;4(ÿlÂ, lVfiipH$piAt nïp'UAOp MfAop MAI HJbÎaÎ*
( i) &1H nATÎAIA KApi O Api HOp©A^A AMf«
cta niHTf^ akmmta Ai.ckiTi «praHi ai M^îna, aî* k^ktihi uii aÎhîkok^pÎai hiai
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— 45
V usag* plusieurs-fois le jour de flimigations aci-jïes chloreuses; au nitre, delà Clilorure de diaux; ies Baies de genévrier avec égale partie de Racine
LiAila liélénium ( en valaque iarba mare ) râpnres de #01 nés de boeuf 1? exacte prr©prêté corporelle, ainsi 4.11 e des habitations tant a P intérieur qu’à T extérieur ; les blanchir souvent à la chaux ceux qui y »ont destinés; ou éteindre de la chaux vive de dans, la remuer dans son ébalition pour en faciliter le dégagemet. de son gas caustique; ajouter à l’eau un liquide acide quelconque * chose qui en rend V effet plus efficace .
L,a promenade./iu grand air hors êtes villes in fectées et du côté d’où vient le vent ; gagner les hauteurs: toutes ces choses sont indispensables joint à l’usage du Banme-anticholéra, ainsi que des lièvres d’accès. Il se prend pjincipalcment à jeun lo matin , k midi et le soir 10-i 5 gouttes chaque fois sur un morceaux de sucre; on s’en frictionne î’ab-domène quelques fois dans le courant d’une semaine, une dizaine de gouttes suffissent. Pour ies enfants la moitié de la dose; de meme eue pour les femmes enceintes la dose doit être aussi plus faible que pour les hommes. Nous nous abstenons d* en faire ici 3’apologie, vu que le monde saura en apprécier lui même les bon? effets ; il suffit de dire qu’il fortifie la poitrine et V estomac ; donne du ton à ce dernier et est ennemi de toute putréfaction. Nous avons fait une grande et longue expérience de son efficacité au midi de la mer Aral, où pendant huit à dix mois nou^s avons été réquis par le souverain de la grand horde ta tare independan te, qui est maître là d’une grande surface de ter-ram , et où le Choléra est endémique comme aux Indes; mais alors il avait pris son caractère furies-
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U> Kbak^A 6tT* «EX^T^S $XI$TX A.f 4>»î"* A* c*KA^a akictikatS ca# ntf j AAÇfl o}ï Ct ^AAora uiî <J>aiHX *e osât dtf *a* M£W. AÎKTf AHAfTA CI^AMi OflAZiîirrZ AK}X KA}fCi *5*AHÏ ^HKVflTop AflAl nV^ÎHTtA At K/KT n#j* h£ j'^SKftRAtfrc ^na ami* e^mssiI et KArx OTOHÎTOAfl AA}f* A$ S}fl»X nt BA}| oW nA* K^A#a^iAjTaj A^n* A011*^1 ç* AtT#px *}AMA Ull Cl AlUASJ* ^HT} H AOX »$} AT y A?" ui*jt ui. h• a• iüIat^h*)] 6e^h Af?8^T* -EfArACf^AHi A*^*!”* A1 W» CÎKrte'j* ml
te dan* la partie de l’Est qu’ occupait la moitié de| ^ T0T Ati A^KOABi Aft KA U,i hU^A. fri* la horde,la quelle avait eu fort peu de tems avau*j|{T|	.f 04M|hï ,
ÇKJ41Ï ^HAf ÇI^Hf
«n combat sanglant avec un autre peuple, duquel^	±~	• ,	t	"	’
* » toit de p„t c. d-J, L,L„p dd T*"”	’	' +' M,*,, ♦*	**•*
motu qui n’ avaient pa. été inhumé» de suite, etlX;^ ' ‘ Ç*H*TOAt«, fZKojlTcAft, (III AIMAfU-jiout une partie s’est putréfiée à l’air; ce fut alorsj^J'1* * A^ATI Ko fEt}* bApy AIHI^IiJha flflH" tu les grandes chaleurs de P été la came de la mé-|hîn^ï AKfÎHOC ÇAIKTj,ie, C*KT Ifcfiftorphose du choléra endémique en épidémique.! TtJtNlHITC4JC Uli E^TK^AlUC A.MCMê^cJ) KoAMS* souvent dam k jjarti# d# ï Ouest dm AC-|ftÏHÇjACC lü Al HA^il A2A^|A 4H B|iAI *9*
A

16-
tàdents ordinaires non contagieux aux quels chacun sait là assez bien y remédier ainsi que je le dirai plus loin ,
Mais c’ est quand le vent nous l’a eu soudé de 1 endroit où il s’était réveillé que j’ai vu son influence non moins funeste que» la peste d’Egypte, et ensuite celle de la Valaclne et Moldavie. L’invasion de sa contagion, laquelle a toujours lieu a la suite des vents d^nvidi,.ou de l’Jnde, où l’Epizootie ou la guerre produit chez les uns quelques symptômes diagnostiques de la lièvre jaune, chez d’autres une partie des signes diagnostiques du typhus avec pètechies et souvent je vis det hommes aye clous les signes de la peste, rarement il était seul original. — Je ne puis compter sur environ 10,000 âmes qui ont été attaqués et les secours administrés par mes ordonnances, que tout au plus 2800 chez lesquels il a conservé sou vrai caractère. — C’est d’ après des observations les plus minutieuses et an péril de ma vie que j’ai conçu ce système que je
M&Yt MM M^ATt oçn Ai	4;j,ri^ÿr! ^ôojoaii» k^chati-
Tps J K^AO^Z A£ BAÇ> » EOAEÎ A*6H&lr£î K'tf AtMAtni KATZljnAU A£ ÇS^SHtlH* Ae maji iun-rô^ac\fya a£ kc^h A£K0^ ; CTpaui-HTiKa h^s^ekïi	uni a ka(iaoj atxt
ni A*h Az\?ht^ kat tut! ni ^nMa$aj* , ex ai cnoicK* AAHt ojn n$Bif ahiïa kajti caht v0-TSfSvijrî niHTçtf AMatTa ; ca# CS CTAHra saf
HICTAHC	AS^HrpI? KAft) , CS A AC.ItTIHI
KAHA $£ÇKt MHTjrô KA A/lAfl AltHt CS tt AHAAH-
ficKS A£ rà$A a^zto$> ; C* rf otfi aux cj SI AïlMflj Al AKJ$ 1 aV?K£# KAJf $AH I CStî $U. (*$IT#A AHAtî <J>OAoCiTTC>f • Jljl^MEAAjl'ïC
Aif caokoA A<J>aja AnH0{tdU,fAE hcai AfioAnneh* Tt, umAHW nafT’fe,A’*»kstjo bijmi bxht^a» \àtt ctfn ni A^AV’pr», toati amicti [Cmt Hiansfar TçiE^tiHMoati > ^nnjt^Hx v!& |^W^IK^tlHI|AÇ,fe KAAfAAI»tfA#n — iÏHTnXoAIJA njifK^AA Uifl AA <£fT»rfynAI ^HTXMnASTOAJI . iï" publie aujourd’hui, que la peste, ou le Choléra ou j1* * **•’ KAAîAAH	Cl ISAAAtl Ktfc'&MZ fil KEAA&HKA*
la fièvre jaune ne sont qu’un; car dans leur état **"* * AtiAMlH'fetJA , AA^ijtAH^ IKtt C&ÇA BATI contagieux, ils le sont, 1’ attouchement est dange-j 4 — 6 fWKZT^Jitl TOT A A $PA ftt 0 K^KAtS Al reux, la cohabitation avec les malades ou leur voi-! 3a)(AJ J CS Cl $((Ht AHICT EAAÎAAI Uiï) nAH-sinage de même ; il en résulte encore une trinitéi TIHIAI A£ OApfKATf EAOftî ni CSnTSA\*HS ,
tien fatale pour l’espèce humaine.
Une chose essentielle que nous avons observé pèndant notre séjour dans les lieux où ce fléau joue ses différents rôles, c’est que l’usage régulière de Baume-Antichôléra et de purgatifs lonico drastique selon l’indication répétée tous les dix à quinz» jour* au moint, et dans les quels la Rubarbe doit louer le premier rôle conservé les humeurs dans an état constant de pureté *
3»4i ntntaT^ii c&ht A‘£t^ai ; niMTf^l Kon'nï 6tTI ^HAilT^A aS^ASaTATI A*ÀO^* -, Atl/WtH'fe iun niHTptf ^fMiti^i rjiAi Ao^a tjie^i ca <f>le
atf m^at MAttCAdEZ Al HAT niHTf# EZOKAttVt .
»t“"	" «	»,	*.
Hon ^MHtTZAfl A AT. AAAT1 <j)AHI AflOAOnA , rifH-ItZ A^AA'fe CtlHr^S EA n^T'fe , CXlï ftjll» RENIAI P^IT^rt ; gtTl 41mAICt1?A a 3iwi K* Ihtzjiii * nït nr&v um CroMiy^A ,
Aj/KOAta ca^aat*aatz. Edra a* C'Iaaz TOT A A \?HA HZ 4>ÏÏhA ^HZA^UIÏT 6cti eïh*
.fhaihti A£ a CTAA/tnajd Cit^ h^a'uctî gaÿ-
T^fï, ca eü n^tiÏHTIA KZ^T^Ï CnîfT^Odtl Of H* niHT^ A ^HHIÇKA SIKaUSI A^fffï dlH-
AA^nrj'ê AÏH njnïHA ^hZA^uiZAÏ i AtfnVii'fc ]cz Sfl kK JK^AIKAT*»
17 —
Les personnes sanguines, doivent en outre se fa îre pratiquer quelques soignées ou des sangsues; çeiie^ qui sont, sujetes aux hétnoroïdes doivent ér» faire V application à V orifice dp fondeinepî .	-*•:
Qu’on évite surtoutlato
rçfea^ins ou le terrible .sur le? âàç^et ^lèrff c&liîi-ci ne don ae^Vdèfei^r€fiîX""«u sang et à tout U la Source de maladie? 'Assurables ; et cos malheureux sont plus que tous autres prédisposés â devenir la proie des maladie contagieuses et causent en meme teins de tristes re B . grets à leur amis; outre qu’ils occasionnent.la dé Solation de leur familles
A*nifrfji AHic-rtf-n Mâü	*, oit» 6-
ny tftiKMM aatoat*	Ho«
4M ^SK^T O M4f« tüTl A^HrZ ÇHCni^ïtHIpl
enp* e*tÿriAlài*tTÎi$ kaacam AffnyiMÏ4^43n a M*fi Æçaa ^HAt^ BjiMiA* 8 {><'tT no<J>TT»IJÏ At GVsfJ4«l\?A M4JÎÏ NtTîTOT*-» Rljil Ht AT&ÿHATE )KApt CT2n^Hll|lf AKoAtçMâJ*
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ÇHAtMÎK* lia lui A4 1*AÎÏ > AAÇ AT^MHV. A^Att jX AtÇA ^HXAfAKTtÇl rpo^AB Attfft HAjlT'k A< AAfxeAÿÎT st tpa Konpinea A* *&*i*TATi At
H ÏTX TSTXÇ4CKZ Kapt AE&tCt lï^tjiHTIA MAÏ H ÎMTt V*H faCKOW CSHytJOf 1$ 4AT H*J«A* AnH K4JI ÂTjMflnA*.HA^C* AV^Alil MOfljï , Ulî A oflAÿTt Ulî Af 4AT4 KA, î hV tA ^r|on4T Â r^4“ K* Ulî A11” «AÇt O flA^Tt A n^TÇtyT ^ 4t|. ar^H'IJI Afin njiisÎHA MAplAop KZAA^Ï » AAI Btpl CA MtTAMO^OtlT JCoMpÀ	fHAtMlKSt
\ (?MÎAt*'ÎK*'	BX^W AAftf Ojï .fnAfT'fc
Atençt arriic Âtstmoax^Ï opAi***}* HtKOHTAyî-OAtt nt KAJt <f>îflUK4pf tpi* tZAt TRMZA^ArK* ÂAttT^A A* kÎhi a^h* k$m bok> en^Mt ma! Îkoao . Aaç k*«a- k^ht^a npÎH e^AAft ca O AA^'t'fe AlH IIAÇtI: tfnAf t£ AIJAtJACt XoAt^A AM B*^T 6HfÇrÎ4 (?1 AU IA A* rfOA^HÎ*,* K A
tuî AH^«i aÎh firîriT lui A^na ahea ah<aîï A*« ÊaAA^ia mi ÆoaaabÎa» ütak^a aÎiiÎ-
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18 -
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ElHI C**T H^AAAtl OEOAAZ; il(HT^ K* ÏTAfl AOÇ, KOHTAyîoJCI C&HTj ATlHyi p'fc gCTI
tifÎMsaîAÎodt a , azk^Ihija a!h rtyittaa htf eoa-
HABI CA$ 8t>ÜH8TAT’k Aof Aff/Mifft; A* ASl £« fK* O TJIl** $ATA'A* nfHT^ H4:,tt^A OAUHICK.
““ 2Sh a^kjÇ a* Kïnf^iHiï Ht Am K?r<iT Aï ci/wa ^«ptAii SaEOg'fiî hoactçi _£aok#-
fÎAf <HAï AHitT EIH ffioAHZ AïOCIEÎtCAI fAAC ÇOAÏ ICTÏ, Ka^TJuK^îlJAji Çïr^AATa A Ea/CA«
aa^a^tÎ autÏ^oai^a; lui K#fZij«HÏi .f i tfnç-
HisÎTOAft Kd^l A^KJi't^a »Tï U'î fl^Tljt
?na nosai$iç4 no^Tojïra aa tôt 10 ca$ 15 31aï SIA nÿlilH, ijiî ^ Kdfl C.(HIHT^A TJI-K& ca JKOASI^ÇOAA si Al s T*W, naCTçi^a ImI^AA -fTÇoCTAJif CTATOÇkÎhîS A* K$0?ljï-HÎï . ülftOAHIAl CaHV Çfâft A^a Aï A*A-CTA TfiK^i caiiîin AACI c^Hyi Ascaif^i Ainî-TOfi ; dSIAI flIÇCoAHI KAfl CAHT C^n^CI AA Tç*Hiuî TfiK^i eau jri ntft Alniroyi aaujz^t.
— Ca:a «fkïÿ^cKa sihiba AAdi »vci«* a* AAZHJi) mi caci ^4>?r aV A» sati.-aÎai c&}>aé-Tii|iî, n*HTf^ «a c^na^a^ÎAf aV? eoaaiai ctf-(^ait^aVs» a^ o jlpaVpAftt rfoA^HÎKa AttfnjA ÇTOAAA^^A^Î i AtÇh^Î AHICtA M-
A*"A A«kxt« xçahZ Caab* CAnyiA^Î* toa-
T* CÎÇTIAAA AiAH^ATÎi'.a Cl $A*Î| Î^BOf^A EOAAlAOf SfAof HlTZA/iaA^Î’*'* l«î ASIl^I 81-<J>*fîsîil! A*ê onçiAÎcnoyi^îi A>.»î «df* A***’*' AAlji A* A<J>I njAA* K*AAsAf)f HoSTAyîOâfIj Ulî Asi b^imi nÿisÎH$icK napi^Hk At }*$
nfîlTÎHÎApÇi, d<j>Aj>* Af ASACTA $AK Ôül ttffiHr*-tft ^AAlî-lliAOp AOÇ.
A600f6 jf^XÆZPIÎ.

I. Fwmigatioii Aeide dbloreuse,
Prenez !un oko de sel ( a. livxçs Enjrpp§ 6»^ est	in 5cl mia^alv
1)	AKJlZ ^AOÇIOACZ.
-M O OSA ACCAfl ( 2. 4>^f*HÎ Aï A1 AK4 Cï Bd ntfli CAJI .uÏHIjdAZ»
k- *
- 19 -
Manganèse noire une livré.	' . h~ ifféHrANlÇ	Vh
Pulvérisez et mettez les séparément dans d«fc ¥8-^|	4>2AI ttfÀ$ lllî
sfes bouché* hermétiquement.	KT^IIéTl ^tAftîntlÈlfV
Huile de Vitriol ou acide in^lniriquéty une livre.
Lorsqu'on veut^ fmoûîgër f $n prend selon lés appartenions 5, à 4, cuillerées de sel, la moitié "§èf%fenganèse, mélèz sur une assiette, et versez Aessus âeÛcià én trois minutes quinze à vingt gouttes d’acide sulphurique ; remuez avec un m.orceav de bois en parcourant les chambres-, continuez jusque quand vous verrez le gaze assez répandu.
«4tl *+
AUTRE.
ÏI. A la chlorure de cîiaux; les pharmaciei s savent partout le préparer et en donnerles détei* mais nous dirons en passant la principale manié, e ' de 1’ emploj'er.
Prenez diïorure.de chaux, une livre; ( chloref-calcis ) mettez en dissoudre la moitié dans une grande bouteille d’ eau pure ; ensuite, vous vous servi rez de cette eau pour en humecter de tems à autre les mains, le mouchoir de poche, le plancher tUs chambres; en porter toujours un flacon sur soi, cou tinuez dé vous en humecter le mouchoir et en respirer étant hors de sa maison,sur tout en ‘passant près d’endroits exhalans de mauvais airs, L’auti e moitié, mettez la sur une ou plusieurs assiettes et déposez-les sur quelque table ou autres meubles. On a soin de remuer une foi® ou deux le jour .
AUTRE,
III . EteigUez de tems â antre quelques livres de chaux vive dans vos appartemens, et faites en barbouiller souvent les lieux dr aisance principalement.
A U T R Ë.
IV, Ayez du sel de nitrë en poudre, mettez en le tems à autre quelques cuillerées à café sur du dfciâôx* allumé, C’est impuissant agent cliimi
Mi *
Zftf» At^ÎTjioA C^;*^
KaHA BÇ'&Cft
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njln oA*J » ^^5? ^ k*ha biI EtA't KarA^r ^4;i«n|.<* (jidT AÎH AttT^A*	‘ x - v
A AT A. ■ • .
2 ) Ktf\A< f%a M baj. Onîiiîtçî nfiT^TlH-4£H-k ijjN c*o4>akx iüi ca A'k ,»ht^	A*5?"0* boaa ajzta Kintfil
-t 'A A* KXfifTIHlI A* A 0 iHTf!K^ÎMIJA .
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n^Ht c'ait AHAAÎc-fefKa aî^warâTi CriiiAZ /MAfl K# AflX K^ÇAT* J A^HZ AHI £ , T»
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AATAj A/l&lHlAC, ÉAC/RAOA AÉE'ï^HAf j RAÇiAOt&A<» cA^IAOp Uf. A.j ç* flOfljï TOT A	K^TiHI OCTiKA&lSt J C*
tfjsAAty Aljï ^AAK.U,«A0A A*HtA IÜÏ A» A p*
l$AA 4>î * «A <S$AfX AW« «<*£!* I Méï K# C&/ViX «Axha t^imi iu /v&Hra aok^ï kaçi pc^Aï âtf . HtiAAAT» ÏKtfMXTATI A* XA0^f* n^-Hfo P.i ^HTAAfJ CA# I!£ AAA1 AH#A«rÉ , Ulî l$Hi* if nt AAAtS G A# d£ AATf A/lOÉiA#ÇI j^HPJiîîKÎHA \l AO AlUtTIKA oAATX CA# A® A<>® 0$ï fif 3t .
ÜxïTf!
î-A-è OTAvHÇfl àhttf 0 Bj-îAAt ^RtjTaaTS OA-
«K*ip BA 4>#Hljï A* BA£ MffTÏHf	mf
«dniijJiA ^Kr^HA AAfifop aok^jÏ/k g*k^it#
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j ^4.1 G* AÏBÎ eÎAÎTf* nîtAT»
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que dont la fumée purifie V âir cTune manière ad-*r Arable dans les lieux remplis d* infection, d’as-pfcyxie provenante de liqueurs en fermentation, du charbon de terre, de bois. tourbe. &c : &c : Ta* souvent rappelle à la vie des personnes asphyxiées en faisant de simples fumigations de nitre et en introduisant de la fumée dans leur poitrine , par le nez ou bouche.
AUTRE POUR AROMATISER
V. Egale partie de Baies de génevrier; de Racine de V Enula helenium, de chacune demi-livre; Rapâ-re de pieds de boeuf, de cheval et des cornes de boeuf, égale partie; de trois objet mêlez ensemble -
On en fait griller une petite partie selon qu’on le juge convenable, sur du charbon. Cette fumée a le double avantage, de purifier l’air des appartenons, et d’en chasser les cousins, insectes très-désagréables .	j
U&tfaiTop xî^î'«fK n^TffHΫ àA
Afÿn A	KPf	AOKVÿî'Af
:*lfAl flAÎHf Af<M0A£SM*> A*	K«jÇ*
AiH^dTipj AnoAïï *iici AociucK, ^îh
KZpstf::! Aï ll*MSHT> A* AfAHH , A* AH^Aljî-«■fe OAAI HTIAOÿ Ul.'4. A. ^A(£f^ï AAH ^KToÇC AA KÎdlJX lUjCoAHf ^HfKATl , ^)*KXHA^Af CJH» A^MAOÏ Aï CÎAÎTp <j>3K*HA C* Aï ÎHTÿ* ^HnitnT nt hac a'ê ns rVjs .
) A AT A ÜÔH1TJÎ A ilFOilliîTÏOÎ.
5.) KATaiiî,w» nnT^îisiTa A{ cxAHXHii»A*
6H^atÇÏ, a* j>*A*',*Ma A* K* A»AJ{ .
— PatXT^ya A‘AMJotf, a< lui
A* «OAJHt A* K0^ » AÎh 4>îtUtKAÇf OTlOtwZTA-* jTï^VilTf «ffTCKXdf 1!? KSTIUJ TjjlïAI . j AtifU K?1A sa coHoii K^fiiÎHnx, « ok*« TZIÿlMt MÎlCX mî U^tAfd i'.f	A^'îrtiuï
âïur a;.< '{iO-'-of „fnA°iT ;	aï-
P^a mi roHtijjî m ,141 eas HiAê asHi r&HrzHiï
k Hiii '.9!K^Tî.
mmv^irnm !■ Il mm^—>■——————————---
DES SECOURS A PORTER AUX Personnes attaquées du Choléra.
I. Des Boissons.
Les gommeuses, celles acidulées, au sel essen tiel de tartre ou de citron, surtout prises à la glace, pn peu sucrées, elles produisent un elfet salutaire. f)n peut en donner aux malades autant quv ils peuvent en désirer.
Entre les verrées de ces boissons , de dix en quinze minutes administrer aux malades des morceaux déglacé de la grosseur et la forme qjr ib pour_ ront l’avaler; (1) vu que c’est aussi un puissair diurétique, chose essentielle dans le choléra.
À&CTFff flX&TOjlFëitô HÊ TF6ESS
CS Cl <f)AXS 'ntpOAHMOÿ AOBlTt A* XoAlJZ .
1 . Eztfrtf*».
Ks^T^Îaî 3ï«0Af{ Mf Af AKpisOAtt K# CAJf K$-ÇATX A* TAJTAj» Catf Aï ASAHXf A^ATI AHAjf K^f-ÎAIJS , SA^AfîÛTt nV*iî H'Tt A A-A^K $0A0C AHRHT^lTOÿ j A* AM*(T $IA ROA-Tf CSt* A’fc KOAHAfiî Aop AT*T KST BOp no<&-î •	RA^A^A* A* AMftTI KS^T^.Î CSt*
A’fc KOAHAbÎAO^ A,Ad 10 AA 15 AHÎ-^Tf stf-4*1*1 ridliS Aï © rfcCÎAHf Uli «jiOfM* KAPÏ oRoÇl cso^nriij.* , (l)(j>imtA k* lui aha'va fvtT* MliKAcK	Hï CAoKOAAï fiiuïA-
! T^A , a1?K^V A* KSniTIMÎï AaXûAïÇ* ,
(1) Ho! tôt a'a^ha a/»a©ks>hAÎt	.
r^piAï il Ai aha! ^ÇÎMÎTÏ rlAijA ^hatak&-^JAt X©Afpî ) H^MÎ , A^pJr^fÎAop aaÎhamÎ-
( 1 ) Nous ayons toujours obtenu les effets les plus heureux de là glace dans les attaques du choie-
ia7 de la pesté, et'des fièvres adyhamiqnes, mu- |u *k	• •	'*'	•'	'
gueuses, bilieuse,-inflamatoire , typhus etc. et la; \ * ^	j.KMlOACI^	^>1 î	>
es! bien naturelle m cite même# Eu été 1* ;T1^M 9 Ui. d* Uli	6ctl ({lîjfcCK
- 2t
2 •) Une Forte Friction de même avec de la glace | •u de la neige pratiquée sur 1’ abdomène à plusieurs reprises, chacune de dix en dix minutes, jusqu’à ce que la surface en devienne rouge : et une à F esprit de vin camphré réuni à autant de fort vinaigre, pratiquée de meme aux extrémités; mais que surtout la tête soit envellopée avec un gros linge humecté d’eau à U glace ou la plus fraîche qu’on pourra trouver, continuez de l’humecter autant que possible. Entre le* dites frictions, appliquez àl’abdomène une serviette remplie d’avoine chauffée dans un vas au feu, a la quelle avoine vous y joignez un verre de vinaigre simple on poivré. Sitôt que la surface devient rouge, lavez la à F eau tiède et appliquez y 25 à 4c sangsues outre une dixaine aux parties latérales du eou; beaucoup moins si le aialedc est faible de
oalorîque produit la putréfaction des matières vègé taies et animales dépourvues * de vie, meme dans les corps animés. L’électricité produit l’opposé en hiver comme en été . L’intensité de toute contagion ne tire son aliment que de celle qui naît de la puissance du calorique solaire ou de Fartilicicllé . Cet te dernière est produite par le feu destructeur ou F embrasement des fluides du corps d’un malade oc casionné par un air contagieux. La chaleur du soleil lors de sa plus haute élévation vers l’un des deux pôles est Je terme le-plus critique dans le-, climats où il y existe des endémies sujettes à la con tagion. L’électricité est alors refoulée loin des hommes , au vulgaire des quels, elle parait toujours vouloir anéantir lanatirre, mais dans le silence elle leur a laissé de quoi combattre son ennemi. Le fruit de sa puissance est F eau dans la quelle elle en a banni le calorique. Effectivement le malade a une chaleur externe à supporter souvent de la 'moitié plus que celle qui le confume .VF intérieur, et rien pour F atténuer que la seule glace son plus actif tomme son plus puissant sédatif.
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2, ) 0 $p£Kdp? TApf TOT-	Câÿ
3s»dA« nt K^T2 ty*AT*. mai A* *“<^ï .u 4>itujKd^ 10 mÎh\?ti , ü*hz k*ha nudi vtn* e^pTZ c* sa $dHf pouiît; ùiî àürx typ* apt kS tnîpT A‘sÎh KAH^opar
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npii/wiijit )ppdHd At b^t AÎh ah et napt Cf m* 4Jt AÎHnt?TtpHisid KZAA^pi coapiA^’ï cal? a
«ZAA^pî AAtllltïü^yiTe • ÆH'fecTX MAI A^n* ^pAAX Cf npoA^Hf A‘ 4>(**t A CTpÎKZTOp CA^ ji/WKpZtJl!i>dp4 /Wd^tpHAop dnodft d Tp^H^A^l KoAHdB npiniH^lTZ A* Afp KOHTdyîoC . KZAA^pA COApt A^l ^HBpfdvfc Ht Ail Md! ^HdATf vÎAÎAZpï hzrpt tfntfA AÎh ifï AoïnoAÏ 6c.t«. CopOK^A Ht A Mdï K^ÎtIK	«aÎmI Af ^HA* pHAf*
■«HAt CSihT MAI mVat C^nÿtf AA dAOAlMZ. ^AfKTpii^irdT'fe dt^HHi pcTt ^AAnint» A*napT^ At Od.«i^ï, A^nz aKtpopa nxpept, Ça ci napt
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ridUd ; AfïJKAOKVA c*$ Ht A dAlHZTCpf MJf 6fTf HfA A*dl eHlprîlC Ulî il^Tiphiz »
:i	'	é
ïz>mplexîon , et si g’est un enfant ou une femme «ttCeinte *
. Souvent pour soulager plus promptement le malade en attendant l’effet des sangsues, pratiquez une faible seignée au bras ♦
r 3. Faites administrer en meme tems des clystè-res répétés de dix en quinze minutes, Ils peuvent •tare composés d’une infusion de fleurs de sureau, de camomille romaine ou autres, de fleurs de mauve > de graines de lin, de mucilage de gomme arabique, d’amidon etc. a chacun des quels il faut ajouter %m peu de savon d’huile d’olive et quinze a vingt cinq gouttes d’ huile de Térébenthine de Denise ou commune .
Suite de la note précédentev
r (2,). Ne sachant souvent que faire loin des hautes montagnes qui contenaient le précieux trésor de îa glace, et soulager des miliers d’êtres pensants à la fois, dans leurs douleurs physiques causées par le choléra et JT ardeur du soleil, je conçu, l’idée d’employer l’eau de fontaine ou celle de-puits fraîche en leur faisant faire des immersions répèteés chaque 20 a 5o minutes ; tenir leur tête toujours enveloppée d'un gros linge imbibé d’eau fraîche qu’on humectait à chaque moment. J’ai vu dès la première immersion et îebandeau humide delà tète tout à couples vomissemens cesser et les vertiges ; au second ©u troisième la dyssenti le . Je conseillais donc au:, bien portants pour se préserver de F ardeur du soleil de suivre mon exemple f de s& refraicliir quel que fois le jour la tète avec Un linge imbibé d’eau fianche, de renouvclîer souvent la chose dans la looruée surtout dans les grandes chaleurs iusuppoT-tables de 1’ été des climats méridionaux. Je viens de répéter a Bucarest a de pauvres gens rctt'e simple mé diode, ils; ont été debarassés de leurs dou-«utes et aa rie & à 10 heures* bien portant .•
g£r haï h 0&&3 ^ kxa3it £ tj$h sac vu $ok, AAàmtr cs%3 c% a^Aoyi. m ïl*Xat At 0!*tT	Cd| nîflXjAT. Z\kKA
*UA'fe’A'fct%A ulpl ff BA <^A1£ ÿoUlîf, CflAAXo *1 aux kkaaÎi'kx» iuî n&«( ^l/U 35— 40 AÎnÎTOfï, aaaî nlt» bjo 10 iuî /.«MiZ^ÎAf r*-j AAK<1 KOAHAK^A Biél CAAsI A* K<>AA” lAfKClé, Btï n^H* AAAI	, dCi/HIH'k LUI
M lu K©nÎA Cal Ad 0	. ÂAtttefi
ïtHTçtf A AîkItoJA Hf SOAHAS «dl ,pJAKX A"
4IIHTXHA AlltjiAJ'k AÎnÎTOÿÎAoJ, CAoKOAA* i^hi|Îht*a caHyi aa Eyaijf .
S* Tôt jTfi àli BJIAÏ£ nlmï KAÏtrî jfyï Al AÏ
2 • ) A* A*IatI Ofï Ktlj iÎHA Hl CX $AK Af“ fiïfTAT A* Afilmtf kaçî a'*? asie-rx nÿfi$irZ iO/ttOAÿZ A* rÎAlJ* , lui CS dïttb'TOfsÇ? . •*îl	^HAÎTOAff AtoAATZ
;,ïÇaJ Aop HIAf 4>î^»l|lï hV^Ît* AlXoAIÇZ, Rli dJ>A«f^ CcAÇfAlï, AAI AM^BkIt ÎAtîï A£ ;i |*T{ifE^IHlJA Alix A* *fB<>P «I A* n|lj çfHf , ÂHKAJt CXC£ liÿ0HAf TOT AA 20~30 AAÏhI-Tl ; CZUlï !JÏ| KAIi’Ia TOT a'a^HA 4VHBZAÏT kI VhMA^UIA^ rjsOC T AUX plHf nt KAjif £XA ^A* -ÎH TOT Mh$r\?A .	BX^IlO KX AtAA
U AÏH TSvW kI<^IhAa?* , WJÏ AtrXT%X îmAX
A KA»IaIÏ t BXÇrZT#JÏA* Ulï AAAtlJlAÏAt H^MAi
L\i K»;r ^«‘ftT'ferx j îdf aa aAoa iuî a tjia a Çhhjtat ujï ’^AÏM-sf'fe* êi c^xtVïw nt miÏ iCXHXTOUlï KA flfHTj^ A Cf AllX(ld Af AfA*^ jSOAjiA^Ï, CX^Mf^f 4lHKXIiXT%A Acfe, CHUJÏ ! XKCrfetKS At Odff KXTf EA Oyi fit 3V KAHOA ; iA^1IIA<{) A»v*r 4kH AnX'|f<it , CX ÇfHHOAeKZ
i«AÏ A* M^ATÊ 0JÏ A^Kfdf4 AHifTA nttTt 3i ,
; MAI ni c4«* 4lHK*AA%Uf llAf HII^tJÏTtA-
Ia* B»fï kaImcab «ïa^x3ï. no|*'
Iro^ïW *H< £f MIToA .fw E^K\?fftpï AA OdMf h? Hf| CXfÀHÏ » A^tïX KAÿ{ C ^îUl\?fAt Af A^ff^ÏAl
AOji, «iï A^ni I-'IO «kt^ï cil4xa% «*-
iiXT OfflJ t
- 23 -
Sî tout oe dont nous avons conseillé jusqu’ < présent, basés sur notre propre expérienoe, ne sou lage que fort peu le malade # administre» de suite îçs deux objets suivants *

t. Un Émetb - éfttftâr&ffifc..'
Il. Un cataplasme narcotiùo-irritant.
Al M^ATIOfl'tfAA lO-r Ù MÎHpTt* ^HttTf
noT cz« 4>akz AÏH <»na	A* *<&» À*
KAMOMÏA fftllSMCK	$Ao$ï A*
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^ïtlUÏKAfï AÎMSTf^ AHttT'fe C*« 4AA$#!ri$#**
; rjMOC*flV* A* ^ht ÂM*mh urï a* aa 15—2S fjjjttÏT^fï A« ^HT A1 TîfBIHTÏH A* fi*H»IJÏA'A$ A« MIA A* OKIJit . 2Uka TOT Ht AM -
Vt n*«a akVm nus temi ka Htjwzÿï hoact^I wtf AastfroftS* Af haT<j>cAjTi n^ijiH iiikoa-HAB j H^MAl AI KZT.CZÏA^ Ht Ai 2 • ^MZc ToAjf aVk^P :
1.0«tTO- KAT4JTÏK .
2. O îiATAnAAtMZ HApKOTÏKO-ÂT*j>MTXTOAp€
Nous en avons toujours fait une application heu- m ^	^(ri ^	^
reuse non seulement dans le Choléra, mais aussi	,	• 3	..	.» th .	*.
.	. ,	, , ti •• ï) , T . • , ijoH CC^OUJIV HOpOHIT, HoKoAMl AA AOAéÔX
dans les attaques dé l’Jleus, r étranglement interne	J	. .	.	* *
AAf Ull AAAOBl$-I.At Af JAttf» A1 «TÇZHCOAJ'S
AÏHAÏ^ht^» Ulï AA rAtTjïSZ B^fME AttHÏ"
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M^ÿï IntKAK^AHA , 10 r^AH^Î ,
*> fiÏH aaeCaak » (1) Anz«A< A1 CtMf,
AÏH ^ïlUJîtAft AO* Htjïl - n^H£A<
ÜHV ÂTffK'iïiiliAW Kto AATZTAfl (AArjre
&,( «riz ) £AJ ^AtntA AHItT^ÏA Cf HOATf “ TffE^ÏHliA 3lA A* AAflTf Aï 0$j>OllA» KAÇf $4-H{ TOT AHIA $OAOC KA Ulï K^AUttfA > (JfHTftf «Z AA TzTAfî SÏH$A < tTf	O'JÏT. -
A« ,f.Tj£E$ï«l)AT AAfff O^ï M TAÎTJiÏKZ-AA0HTIJÏT Ulï AA <f>Jïr$jÏAI Ætl'sKZTOAft ,
3ff  ^oK Ae £0 Ult A»ÏA CA&tfÏT TOT KA uï K&Mutf A ; UJÏ TAfTAf^A AHTÏMOHiÿ îilf-HAH^AHA , KAÿf A AUl^ ÂHTf^fK^ÏHlfA Ulï ACTZ^f, AAf ÂJ4 A°ts^ï ÂHtjif	AK^M &MfrÏHX t
TOT Ââ^M A$ JiZtn^KC AA AIlltnTAft Ail «ï AH-fecrz njoA^nyif ^ïaoïk* , iuï Oji^OAOCÏTOf	ÇOAiiABjf.
et la Gastrique en cas désespéré.
EMETO-CATHÀRTIQÜE
Prenez Tartr^ ftibic de 3 a 4. grains. Ypecacuanlia grains dix Vin blanc faible ? ( i )
Infusion de feuilles de seines
de chacune deux onces, . Réutiissez-les tout étant mêlé , administrez clia-} que quart d?heure deux cuillerées de table, alors Cessez les boissons et les pilules de glace.
(1) l’employais le Coutnis chez lesTatares (lait de jument fermenté) mais à son dé? sut on peut employer le sérum lactis d’Europe qui produit le me me effet que le Coumis ; cardiez les Tatares le vin est Ulie chose 'prohibée. — j’ai souvent employé dans la Gastrique, T Entérite et les lièvres d’accès, le sérum en place de vin, il m’a .-■•■du le me me service que le Coumis; et le tarrre antitnonié avec 1’ Ypecaeuanha que j’ y admetterais encore aujourd’hui, mais que je remplace maintenant par l’Emétine, ont toujours ainsi que cette dernière production chimique répondu a mon attente, et de la plus avantageuse pour malade,
> * Cetté hettfeusé audace chez des hommes qui ne totmaissent d’autres droits que la force physique, a toujours délivré promptement i les malheureux malades, hors ceux pour lesquels on avait appeléj trop tard les secours de l’art, ou que leur système lymphatique était par trop dépravé
24 —
lili MCtTCKKAi ni TOdTf » A* KOAHAR&^J A4
T c^tÿT^A ai 2 Aïnrfyï A* mm* ; a«
r*H4ï ^	A* AÏ M K*^T^JÏAI Ulï
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flH’fetTX .^HA^rH'feAa. ^^VhÏTÏ A4 Cd«fliî
AHIIA «dp K^HorK aate A$>if|T^p A* k*t
Les lavemeus doivent toujours continuer, et l’a-voine vinaigrée sur Fabdoméne, renouvelée de tems a autre, ou T application de même répétée, de flanelles chaudes humectées de vinaigre chaud. Mais il est plus avantageux d'employer le cataplasme jaarcotico-irritant de même sur l’abdomène . Cette heureuse idée m’a toujours bien réussi lorsque les attaques du choléra avaient leur siège principal âans les entrailles* en cas accidentel, endémique •u épidémique.
’r*?ïd $|Ç'fetKS , TOT Ad^Hd A îfK*Ki*T H^-«-'1 A*K*T ni «IHOÿOHÏllî EOAHdBl t d^AÇW AE 1J*«4 rilHTytf (UÇÏ njii T*^ï^ C ^ *ïf «AT d« •^TOd(if 5t Mf IJJHütfr#A^Ï , CdV? d KKfOjld CÏ* '•■rf'AAR A!«AdTÏK« d AoCT ni tot^a nfsnzAÏTZ.
KaICtÏ^çIA» C, dflMOlt IUÏ
%%t^A K^ol}»r a dt^nÇd E^Tlï C*fE vfHOA-** ÀÏHTÇ o8ÇfMt ÂHTÇ dATd, Cd$ ca fi nÿ* 1.\tCfOÇl (jyAAHIAE K AA A* ««^ATf ÂH ®*JfT
idAA, ; A<*P 6cti’kV «Vat *aÏ $eAotï'Tof AE A «T^I8^ÏM|d KdTdOAdCMd HAÇKotÏHJS - 4HTS-oststoaç» dt^njid e^ptiÏ.	ÎA*t <}>i-
ÿiVCa TOT A a'- HA dixE^TÏT ElHl , K&HA d-TdK^ÇÏAf XOAtpï Âuiï dB^ CKd^H^AAof HIA A£ KXniTIKÏl AAdlll , « _fHT*«nAdf* K&TC oAdT* , eHAiMÏK» dtf eriïAfdiUKa.
N. B. Après les quatre à cinq premiers vomis-semens produits par l’eméto - cathartique , j’employai la potion de rivière pour arrêter les vomis -si me îs produits tant par la maladie elle même que par le médicament, mais elle était toujours insuf-ïssante. J’ y ai ajouté alors plus départie acidulée et de Courais que peut remplacer en Europe le vin fort, vieux, l’eau de vie de France, le rhum affaibli avec de F eau ; mais y ajoutter a chaque «uiliérèe de table 2. gotutes d’huile essentielle ue suent be poivrée ou de thérébenthinc de Venise, e, a chaque vomissement redoubler et donner en menu tems une tasse de forte infusion de mélisse , ou de •auge, d’ahsyntbe etc* le tout froid et a la glace.
H. E.	him 4. d\?5i sxÿcsv^ï
«dï «t*ic hi ai nj>ïVibtfii*!i 0a«tV?a Kataj,-
tïk, ^kt(hkXihijak) an* A* r*ÇAS niHTjtf d oripï EZfCZr^frÏAl Ht Cf npHIH^ItK ATJRT A* odA* EXT Ulï Al AOKTopï , A<*f HÏHÏ oAdTX - d <^0fT ÂmAKt)IaZ. f|-»^HHÏ d« dASCTdT A AÏ MV?ATZ CïdÿTf Al drÇÏH^H€ Ulï A* K^«ÏC ÎHTPdAKÏçÿïû Aî>K C.( UCdTl .fHTjlE^ iHIJd JjlH >^ÇOUd RÎH R»KW, ÇidKÏ^ A* ^PAHIJA ,	?«*{
cazei’t K^dn* \ Aa? c* d dAdoyi Ad <f>ïtm-Kdff Ari-r^ç* a* «dt* a©* nïVaT&ï A* ^ht a*
î^«z Cdtë Al TfÇKIHTÏH Al S' Mttjfid, Ulï Ad $ïfUI«
KdÇf ^zçrzT^* c*n ÂnAo*™*»
Âhtçdni Eff«i Cz î ci a^î ^H$iAÏydB Ai dns
aimiaïcs ri Af CdAKS ( sauge) a* niAÏp
Ê\ t. .* . fia d % A<»| tôt £chi ujïh§ FÏd%*»
COMPOSITION
du cataplasme narcotico - irritant Prenez : Tabac a fumer coupé ou en poudre, 4. onCCS|
poivre rouge ou autre^ ? 6tiçes

,	apupoudie-
à avant que de V appl*
-25 —	'	>
4 KaTAiwufMÎ HajkotÎko ^HTSÿsrzreAÿf U T^rtfll t* atjc*#
n AfM*	to«MÏ •
f i. Âdb^ÆmUi &tmiuf , $*ï»a
J?5i MÏ*5 À* 0*ÏH**. i* 4>Vht , # iïçïIk a*	< 2. îwÿiï v
Tij^rAf orisi* îK^A»*TdTt kaçc çxci fp-*
<AjH nt KdTAHAAfMX .^H<UHTl A{ A O nbW. **-»»'&•« BlIfW, JAKltf oç J^A» , AT*T ifar *A 4>ï ^hAMT^A fltHT^A^AHt O nAÏHÏHTÏMOA-A( , CX O ^HKXAyipï AA (j>OK, CX O nVllUA'
4* nt k^ts, uii ex o aauiî n*H* aa itnjXBïr.
A* KATARAAfAAA KA^KOTIKO TXTOAfB « n^Ht v^H TOATX E£Em4 nÇ'MfîK^ j, A^c^nfa nxjijMo|> HAt|<*ÿï ‘UfU),i<{> nti&r ÀH Atix iuaax, uiï n«$roj>ciiit a^fci ahaÈtx ^Ad{“ > A&ftf Kift	AÏHHjt^Ha k#
HIAf AAATt AJK^TOAff h^yiçi nïUJAT^A^Ï Mfl 6fT« A^ -f^A ‘IgA MAI At RXntTBHU ^htçam4> CtX r^carHlKZ BOdAR y AAI t.Z^JA Ci MUT OMC C*HT: rjf^TATl AAGTOAAAX^ UJ| O CAOKO^fJf CAASft ? rAAf^A K0AhAbV?aÏÏ ÇCTI fXfOUÏT, K&'Ut SiHCTf U1ÏOKÏ TOT Â^'A XTXHIxA KA UIÏ AA îAjç^>c.EÏ( (t^jkaçi).
Tôt rj ah4 Bpt,v,* nci àm .f.H’i jiEVïktjAT ^HTÇ?niSoAft 2. BJ^ÏKaTe^ï TAÇ1 nt KA^f Ar AM AatAT ex A^yi^t n*>ia aa «fHtxkXTciis^iï
SOAHAB^A^l A^n* TffHfçi njlMtiKAÏtï CX et ÂHTffKtfÏHlJty KV^r^lit KÏÏ AV*AvT ^HTZjÏ-'OAft mi iMnVVtjNÏHiToajf ; c* ci V'fMiy « «ffMt A* 4	5 3jAC A^n* Aïiùïÿi KoAAlï,
i«AS^AI|l«A A^4 n< fï'ÏAÜjm 4H TOATX 3ïoa , lV>r 0^Î>?«ÎÏT , C* et	G4>Z". Vlffe Aft-
CXTO^aSi CXHXt^IJI HAJ>t C Aÿ fi^T'fe
'1<4 ^hcxç’hvat ka cx nçïBïrty ac^nçd kx^«
rxpï KOA<îA^A^r A^a CltTtMd HoafTfX, dtf AAAT^i A lu HÏHCTÏ^Ï HC ipç'i TOMÇcurî A K2fVd Ç^tntfîtHliX aç$Ï Mdï AtnAÏhÏT» a t k»rt a'
En général il est indispensable comme nous l’a- HodCTfX ^t cKljit)StTf Mtanz^dr Ai TftE^ÎH^a TÔns'^v'iiionti'é de ne pas employer lesmenieis pré-	AMifXTAT Af A f HTjitK^Vfdjd TOT dHti
«eutioiiï qu’en tems de peste.	^AîMScfyï A‘ "A^X A1 «*T .p b^ak A* ^MX.
rTÀrt’.'atSiig^l ez k iMao^b
'■	■- c-;-‘v
„ Vieux vin, eau de vie pu Rhum autant qu’il suflit pour en faire une pâte molle, 3a tiédir au feu et l’appliquer cliaude sur rabdomene ; le lais sér jusqu’ à l’effet !
Outre le cataplasme naTeotieo-irriiaat appliquez pendant tout lé tems du danger sur les parties génitales un linge imbibé d’eau tiède, et renouveliez souvent cette immersion, chose qui facilite avec les autres auxiliaires le cours des urines objet essentiel dans cette funeste maladie, dont les symptômes naissants sont: pesanteur à l’estomac, et un faible dévoilaient, le malade ayant la voix éteinte les lèvres violettes et les yeux toujours agar comme dans T hydrophobie,
Nous avons en meme tems fait i’application au dedans des jambes de deux forts vésicatoires que nous laissions agir jusqu’ à la délivrance du malade. —- Le danger disparu, faire usage de purgatifs doux, toniques et meme drastiques, les continuer pendant 4 â 5 jours après l’absence du mal mais en augmenter insensiblement chaque jour la dose. Au reste suivre en tout les conseils de l’officier de santé ordonnateur qui pourrait se trouver chargé de surveiller la cime du malade, d’après notre système ou celui de nos honorables collègue* dont l’expérience serait plus consommée que la îiotre.
~ 26 _
CITR.E &ES TATA RES BANS LE CHOLERA
endémique et contagieux
J
Les Tatares emploient de teins immémorial dans Ips attaques du Choléra accidentel, endémique et! épidémique ( vu leur habitude de manger la chairj de cheval ) la peau d’un de ces animaux ou d’uns boeuf; enveloppent le malade nu dedans, coudent dedans et lui font avaler du poivre rouge , de l’as j sa faetida, gingembre ou autres fortes épices dans
KÏaJSd KÎS K A Pê 00 Tl» /îlli-A'6® CK T "h T Æ F ï
AfXoAija	mi KoKTiyïoaca .
Txrap A!ht^oej>imï h» ci ijîhi mihti
,j»H dTAH^ÏAI XoAlÿî vjkHTRM-
nAXT0A?i,	tuî êRÎAt<v»i>u
KX Çl d$ OElHIK) A* A Al*HKA KAÇHl A* «AA )
nii.vfc A‘	^{^oeÎtok	;
4»hsxa^c ni K<>AHaB roA Âhax-htûh'pj, o Koa-
3	r, .	.	.	, ,	-, i Cf ne AlHd<J>d?x , tui Aa* C* K'k acAo# a»«
du vieux Courais, qui peut etre remplace par leq .	3	.	*é	# ïiy ï
vin d’Europe; lui font une entaille aux oreilles,f rJjt/vüi^ > JP1 iMT^ACK-ouvrent une veine à l’un des pieds pour faciliter*-T0JI1	>|V* H .Mlf KfKK/j	âf\ K%£KIAA6K
T écoulement du sang ; frictionnent son ventre dej cette médecine et le pétrissent continuellement, o~j utre.qu’ils lui introduisent un lavement d’eau et de-graisse de cheval le tout tiède J’ai vu d’assez! heureux effets de ce traiteiheut ; mais F applicationj du mien produisant aux malades leur délivrance plu$j rapidement et plus certainement, l’ont adopté et! communiqué de mon teins encore aux hordes des antres peuples voisins.
HSEESEBOEESBEEE
33SE3
NOTES DIVERSES ET , RECETTES DU
heaume-et de la pondre anti - choléra. —— Elles seront continuées dans les éditions suivantes. ( î )
Nous avons aussi remarquè^que dans tout l’ori_ eut comme dans beaucoup de contrées d’Europe, les bouchers ont F habitude de souffler avec leurs bouches les animaux qu’iis tuent, pour en détacher 1
noATi c*ci	bÎh$a a* é%«HA;
^IKIAI ,	A*^?A	0B*W* Ad
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$ï. ^Vï »{>f kR* e^pa dH^fTS* Ao 'Tofî* «il	hi jU^n aT» d(J>df* Ai d-
‘î'Scta j»ï h&’J oC'^ ' ay^? h ? an* itû r^a-il.Mf a» «a\ «a A* 1>‘'Î	4'tf>ï*iî,'r* $o-
’OACI A* A A AH'fetTX «X^Tafl . Ad? 4H-rj>tK& ï »Rdpt AlîaïAoK^A^Ï KXsVîUÎ MME I^E^bÎmA ^ EOAHdfiï , MÛ ma! ^HrpdEX luïdtdï Clrtfç 9
«Anpii^ÎT uii *a ^AAnayi zuiîr, ^hkx 4>üma
AKOAO, lui AA A AT» MtTI A( HC?OdA* ?«*»Îhî.
^VHCfiÆHTiPf £60CÏKÏT&
Ull fllJETI A* KAACAdd^A IBÎ nfd^A AHT1-\oa*?a; ^hicti ÂHadAHZp boj #?/wa	6AÏ-
tlÎAI tffMXTOdÇI. (1)
Hoï AM EXrdT A* C’fcd»* KX ^HTOT ?SfX?î-«•^A RÇtfK^d/» Hlï M^AT# AoK$fI .fB ê^?0ndj *X»HAAÇÎ dÿoSiHfW Al d$M$Ad |Û??Îae AOf»y ÀOKÎTOAHfA! «AfÉ Al TAI MKTjtë dAVdnîtA’fc
( i ) J’ai écrit cette brochure à la îiate vu que j’avais oublié pour toujours mes observations sur je Choléra, comme une maladie incompatible à cel les d’Europe. Mais comme je le vois arrivé autour de moi, et effectuer sa puissance trinitairc, telle que je l’avais observé, il y a dix ans, et que son
(1) CKjïttW Am4îTX KÇOUlfyx ^rjAEÏ,
A1H PfÎHÎHX niHTji^ RX tflTAtlA» niHTf^ TOT AA^Hd Eîr*?ÎAl Ml Al A* C^MX dt^lt^A
XoAljpî Ka dt^njd 'Ihiï ecaai KdÇf 1$ (| nô-jTtÛEIlj'C Midi A*H ê^çon*. AAf KX tMU A ÇOtÏT ^njlîK^AAdU^) Uiï KZ ^Olï ^>ARf
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plus facilement la peau et donner plus d’apparence-J à la viande ; cetïe coutume est pernicieuse, vu qu’ils, pratiquent cette opération sur tout vers le matin et a jeun» S’ils ont le scorbut, la syphilis, ou le le-; ■faiu de quelques autres maladies contagieuses, la chair de 1’ animal en est incontestablement infectée .
Chez les orientaux où leurs endémies passent souvent au caractère contagieux, c’ est quand certaines sortes de mouches de couleur vert-violet et de différentes grosseurs, se font appercevoir par i milliers dans les cloaques, les lieux privés et en général dans les endroits marécageux, et principalement où des matières» animales se décomposent a l’air» Elles sont alors 1’ épouventaille publique, vu qu’elles ont le caractère épidémique. Car tout ce qu’ elles touchent et piquent a certaines parties! exposées momentanemeut a 1’ air, ou autres, elles y déposent leur venin "pestilentiel ou choléra et la personne est certaine que cette inoculation lui produira le fléau . Il semble que ees funestes insectes sont la quintessence délétéro - animée de l’é-jtidéinie meurtrière.
* fie plus, l’usage des liqueurs spirtueuses au poivre Surtout le rouge est a recommander aux personnes infortunées comme préservatif,, prises en petite quantité plusieurs fois le jour*
De plus, lors de l’invasion du choléra, les extré-
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aVÎHyi A4 MÏyn naj^ï uiï^ti tu|t c*ht aaïh^-Ta A HIX nHtl A4 Atÿ, C4? 4 ATI AI , A'ÜA’fc ^.Olïj ÎI^M RfHÏH^A Aof HfA	CA$ XoAlf A j 111$
lifCOAHA AHlt 6îTt CÏr^çX KX astcTa yiçi Âï 84 4^M| KÏH^A 4Hi A O-V.OÿRTOj . ÜHI-
tri rj>#^48t M&iii cendre kscjaxt ^ïïhija o>
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TXI$ÏMt AAÏRX A«AÏ £t /Vl^ATI ©Jl HICTI 3i •
BJlIA'.'fe ««HA XoAIJA AoBItjJI Ht HÏKIBA-,,
effet est préeisemment celui d’une seule liqueur spi-litucuse administrée jusqu’ à l’ivresse à trois individus particuliers, laquelle selon leur caractère individuel produit seule l’hilarité chez Tun, la tris-fesse oit la- fureur chez, les autres ..
■rÿu|jf n^Tiffe ca ni ^tjiÎtx 4C$ia , nçi«V*i î> AM BÏ^T, AK^M 10 4HÎ, UJi XX C%ti Sert T-tap K4 4A ^Hiï cIht^i kx^t^Î OnifT^OACt	M I 04.VUH1 OflKl^ï n*H* ”
Cl ^KAraT , lîii 4il0Ï AH'itTA	KAfAKTff'Jiï'J
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mites devenant îro ides , j'ai'toujours , outre tous les; secours dont il est question, lait frotter leurs plan-les des pieds le dedans des cuisses, les mains à F iiteneur et les bras avec «ne-forte brosse, chose qui coopère beaucoup au soulagement des malades *
r*
Nous venons d’observer a Bucarcste un phéno mène bien singulier et qui prouve incontestablement ce dont nous avons dit sur l'existence d’une quites-
*j	AV'ï,lïf
jdVK^TOJftAf	KiSJt A.HSOjEÏT) &.% t'.tit
;C* lc« tytH* TAAfltAt «ÏHOAJtAOjï , ^HAa&lTÿtf
lilOAA^IAOÿ,	ni A'tH AA^HTjtf UilKjlA-
li^JÏAé, o LJOAAX KftÿTOACK y A‘îkj$ Kafl A • M^AT Cnçt	KOAHAB^A^Ï.
Hoï K3T3A* A1 C^Ata A4 a^K^El|iï V*
'ÿflfOMtH ntf TOT^A AfOfkÎT, lui KAft 4JA-T* .fTÿ dACBZ^ AHt'fc Ht Hoï AAA 3ÎC Alfllji*
sence délétei o - animée. .La femme d’un prêtre àj^UKlslHTIClHlJlî OAACP&TOApt
Bueareste étant morte du Choléra il y a quinze <$Atl}lTï • HfBACTA ^hVÏ fl 0113 ^1H KVk Vif
jours, elle éprouva des vomissemens dans sa cour .J ipj AA'^IhA A* XeAija Af EJO 15 3iAE 4“
Plusieurs especes d’animaux domestiques ayant man-j g sçtAT ^ K^fTI . iÜATt Ai's'ATI	aH’(.Ï A*
gé quelques parties desalimens vomis, telsquepou-: ^dEïTodH| M*HKa!HA ns-fTlHIAl AlH kV 4 É-
les, chiens etc. ; ils ont aussi ensuifèéprouvé les] M aHiA( 6XfUTf f	rzjHÏ.t UJj
attaques du choléra: chaque animal a présenté sc-^^ } ^ ^	^ |A| A| XéA(f*.
iuii sa nature des phénomènes différents; le chien1; -*	•	,,	.3	*	.	*
, r	,	, lt	jiHrlf llIKAOf ^OKlTOK A^l** HAT5M CA A
tj. e. a eprouve tous ceux de la rage, a F excep-!	*	. .	*	.
. A. q-, J, T j , (OJdT fyiHOMtHi Àiofî&UTl ; OIHT&M niAAZ ; Haïtien qu il était insatiable d eau. Le coq de la cour,)! „	,	^	.	. r # *
son ventre s’est grossi singulièrement en éprouvant ^H^XLptiiA <^fHOMfBiAi T;à£&X(1J	A1
des convulsions bien visibles. Plusieurs poules et;WZ Ho Ci f!&r*fc C&t!?ça Al * KobOUJ^-
poulets la même chose. Le prêtre les fit tuer; on	ICA $<V,<{>AAt K^TA k$ A*onKi^€
ouvrit le coq, on trouva dans la région de son es-j.Wl	Cr^KHCtÿl ^&fA*ÿATt ^Às-CT^/tJ
lomac une membrane contenant un animal ovipare*y*lAÏ m^ati rXl:4 tliï n^ï AlfAAfH'fc. lion A TZm
tenant entré le crapaud et la tortue, ayant ccpen-jlH4$ï , A CKlC ni KûKOüJ UH A A$AAT 4K0-
dant la tête et les yeux approchants de ceux du nfïnC^A ■ CTOAU);&^ï 0 flIAiqS £ ttâfi CA
jA$.UT gif^b;ÏTCf 02LTCj> ÎK MZTATi KfoA- ;
d'un oeuf de canard a peu près, et avait la couleur 1	-	-
des animaux aux quels nous lui avons trouvé quelque ressemblance. O11 a tué ensuite de jeunes poulets, et on a trouvé le même animal, mais d’une proportion inférieure. Nous avons fait déposer ces monstres au comité de médecine de Bueareste. Nous avons aussi remarqué que plusieurs femmes’ juives attaquées du choléra dans leurs vomissemens rendaient souvent des animaux à peu près de cette même forme ,
SUITES DES NOTES , TRAITEMENT de la Peste.
ïW'ie.s choses'des plus importantes, à observer
tKX Uli 5tftf,ViaT4Tr EJ04CK55 t|fCTOAt* , A4jl Aifl^A IUÎ OKI CtAV2H.4 ütf Al CTIfAITyA^Ï • fl-HHT /MOHtTJ^ OMOjaTCf 6fA 4nÇ04at A» «ajîM'fe 0^ A£ KAHA^, mi IÇ4 4>41J4 BÏtîT04*! jtAoji «ÿ«4p L.ttrACÎr OAjilHI 4C4AAXH4fi. A^' 03 AHj-fec 4 T3IAT Ulî fl^l Tl H C Ç U Uli TOT 4HIA 'tij'ii vof ca rscÎTini ,jIh6Ïj AdÇ ahaÏ asΫ. ïï»j 1HICT Aïotltr^ A4 AA li^t A4 OïCTfAÇI A4 KoAaÎTI Ç^A AOKTOÇIfK	4A|
ESTAT A«cfcAA3, Ka MAI Art^ATI $3AAtl OBJlïll AOBÏTI Af XoAfja, £ B3fCSTRIAI AOÇ AAltlod A^fKOf BÎll^lTOAJi MAI TOT A* AHAfTa 4>0fMÏ
SFÆnP* ^VKCftÆK’ArïiOP TfAKraj itîj'fe ^ï^aaÇI •
ÏSm^A A’H aVbj^IAC HIAf «AÏ ÎAirfjTAHTlO
2 9 -
à 1'-égard ' des familles atteintes dn fléau délétère JjTJtEatCK HJtyT* W.HT" c’est dé faire détruire leurs chiens et principale-;
""ment les chats qui errent ça et la pour leur nour-j ïiture, car j’ai souvent vu des familles des quarti ers voisins empestées par les. chats et chiens des personnes mortes et soupçonnées que j’avais fait] enlever de leurs maisons pour les camps pestiférés;
Sans que ces animaux soieut le moindrement du monde atteints déjà contagion qui se plait cepen dont à résider dans leurs fourures ; mais les autres: animaux domestiques, tels qui volaille, chevaux, brebis, et même les chiens &c. peuvent être conservés en les passant plusieurs fois pendant quel que s jours à l’eau fraîche d’iuie rivière, et a son défaut celle de puits; cette immersion faite, se donner bien garde de ne point les toucher des mains et des vétemens qn’ après les avoir en même tems souinmis dans un lieu clos quelconque à la fu migation de fumier de cheval auquel on donne le' feu, et qu’on entretient pendant cinq â six jours, eliose qui purifie aussi l’air, outre celle du soufre du salpêtre etc. pratiquée sous chaque animal particulièrement .
Les vétemens , linges ete. portés par les malades et ceux des pei sonnes qHÎ les ont approchées, doivent de même être passés à l’eau et fumigés ; leurs métaux passés au vinaigre et à la fumigation acide chloreuse ; leurs habitations blanchies et reblan-ehies plusieurs fois à la chaux vive .
En général, l’usage en tems contagieux de porter des mentaux ou autres vétemens de toile gomées! ou cirées est d’une nécessité indispensable jcin^ anssi â l’usage strict de l’un de nos heaumes i mais: çes vèteuieus devraient être oints de tems d autre d’une égale partie d’ huile empireumatique, de; oorne de cerf, d’ huile d’ olive camphrée, d’ire At-‘ d® térébenthine .et uu peu d’a*sa foctida
AMÏAÏ'lAf ATÏHCC Àf OArtOPtfTOf * fifTI A* OMOjl* K»>1HÏ !)ï AAAÏ et»* ItîtÏHÏAI KAJ* VmBA* *HK0dHl
XÎ*HA aoj> ; m htjV «a 6\? a-
4>»MÏAiï AÏH M&X&MAiAt B*’
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^ AAOAÇTt. UtÏK^SaH^AAa lit KAff A’fcto}*** AÏHAT AÏH KAtfelt^of lllT a4«	AA ofA<* »
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HÏA£ 1 OlAt , Ulï KÏAûHAÏhl tll. A ; HOT C* J8-VlSit TJfKXKA^t AAAl At m\?AT< <>JÏ 4H 0
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AÏnca ahIi^'ia n*H Ans A(n^< ÆH*fc(Ta «$• j)^HAA(t $aK*HAtftf Tj-fB^t cact Edyt tint Al cfe/wa ca h^a« ATinra kV? aaaïhiai a^b^ ^ai» ut ai , a* Atërts Ht At ba KarA ah^
gJIIAAf ^HTf AOK ^.HKÎt AA (^All A* r#HOK> A*
kaa k*{$ïa ca ict A’t $ok ijïïha^a n*H8 aa*
5—63ïai KA^t KVfyaiia uiÏaij^a, a$a-|a Af asti ca At a^ ^aa A* ntf noata , At cï* AiTja ui. a. AfA£t^nT^A ^ïtmRay\?ÏA Aokï-roK AtOfÏKÏT . X^ït'IAti DJRH^fT^ÏAt Ul . A-«AÇf Ai A^n^TAT EOAHABÏ lUÏAHfAf (KÇCOAHC SAJC CdtfdnfOnïdT At6ll) AtfMtH'i Tf(K&CK rÇtB^Tt (lfÏH Ana Ulï A$&MATt ; iWfTAAY!JÏA* 40j> ca Cf TJ'fcK* fljÏH Oljf T Ulï CX Cf 4$^AAf alJÏA-X^^^OC i AaBAUl^ÏAf Aof CS tf CnOAtKX
îaf ca et cnoAtKa mah Attw^ATt ofti h^ba^
HftTÏHC. ^f «EIPI , OEÏHti^A » BftAAI KoH-Ay'ioACS A* A flVjTA A/l'AHTIAf CA# AATf X^ÏHI At AA^UIAAAA Ittfr^MÏ A^H^faetTf At OTJUE^» Ïhi^x HiAnaçAT*, AiHfJt^ua ctjauihïka
fHTftK\JïHlJAjit A \?H^ÏA AÏHEAACAM^fÏAf HCA-ÎTÇt» ^Aj» AHÎCTi	TJtE^tCK ^HCf A'*
BJIMI ^HBÇIMf K^onA^Tf nOTÇÏBÏTS A* ÇAVniftBAAATÏK, A1 K0fH At HtÇK,	At AfMH
KAM^OjAT i ^Afï^ A* TtfntHTÏH Ufï n%jHTiKj|
— 30
Cette précaution est non seulement nécessaire, mais! indispensable surtout aux médecins qui doivent pénétrer dans les lieux infectes s’ils veulent échapper à la mort. C’ est a cette bienfaisante idée que je dois d’avoir survécu à onze jeunes médecins de 1’ Europe qui étions en Afrique, lesquels ne l’ayant malheuresement point admise, neuf d’entr’ eux ont été victimes de la peste, tant*a Alexandrie qu’ a Jérusalem, et le dixième du choléra contagieux en Asie dans un grand désert près de Samarcande, au moment où je m’ étais absenté de lui pour aller dans cette capitale pour nos intérêts communs. Je lus longtems affecté de leur perte mais celle du dernier m’ a sensiblement touché ; c’ était un Anglais non moins audacieux que moi, ayant osé entreprendre des voyages aussi périlleux a travers de tantNde déserts et de nations barbares. C’est ce <J^i me confirme en ce que ces sortes de vètemens oints de cette composition, repoussent victorieusement les matières contagieuses qui pourraient environner Findividu.
Si le fléau délétère produit F anthrax , le charbon, le bubon et les pétéchies, il est pestilentiel, employez alors mon traitement, lequel consiste en: fie qui suit: 1 .) à F intérieur absolument celui du choléra dans toute sa rigueur, n’ omettez point surtout u5~a 3o. sangsues aux parties latérales du cou et autant autour du bubon, de l’anthrax on charbon etc.
S.) De F extérieur.
Ï£eiiez, verre pulvérisé subtil. g . onces,
„ arsenic blanc pulveris. 1. once .
„ Sublimé corrosif 2. drachmes.
Tarir stibie ou émétique , -f once H. Extrait de ciguë et thériaque de Venise1 «tedbiaGnue trois, onces ..
4CA<J>ÎTÏAA- iÎH'ItTX	G
H^AUrî TJÎK^itlHOAi* , HÎ fitTf HtAn*|ATA /MAtt . n'i C'fe'W'* AOKTOJÏAOJ KAJÏ TJIE$I C*
AM AOR^pUï MOAÎstÏTt , ^<ska BOû C* C*AIH Ai AHOAJTf * flHajlIYl I^tîl $*KZTfiAJ€ Af Bl«* C*HT AATOf K% A AA TJZÏT £&!* ii . AOETOJU TÜUfin A,M ®^f°nA KAJÏ fijJiM ^,H Æff.jïüd ; A-lîtT'fe cnfl Hî^iJÏHÏJ'fe Aoj Hî ^»TjtE^KiJM-4^0 , 9. AÏHTJt fitl dti <j>oîT 7KIJT8* A A£ H&toï 'V*T AA ÆAfKCAH^jïi Kxr Ulï AA It J&AAÏstt , ÜÏÀA H-A't AA JÇOAffï K0HTAVÏ6AÎÎ ïlCÏA
£htjoi$ctu ahajI Anjoani a* Oaaaajkaha ,
fHAAÏH^T^A ^HKAJÎ fi$ J/VVAÏUCÏT Af Â^HPXg’A XACXAAljr ^HT? AM’ÉCtZ IÎAUÏtAAX tllKTJ^ ÎNTt-JfftfjÏAï HOdCTJI	d^Hf* BjfA'l A.lfl
?Î>oct	A* nï-aoj , A^ ïH<f Af
XÎ A$n /WAV-	nt , M A ATÏHr MAI CïAUi's—
•T©f.	iÎHf ("t A fi ÇA tfrt 6ht A£V k^TKÏOC KA Ulï
M!»î 4HApXCHÏHA A^KTÇitnÿÎHA^ kzastcjïjÎ AMiA Af n(i‘tA«fîKAÎoAÇï njiH at*t4 n^triï uiï MA!|! n KAJEA jif . âHft.T A^KÇ.lÿ Al* ^HTZJIltU
ah4:ta kx ac^ia Af ^«v.kjækïaiïhtï
K^AH'ttT* ROMil^Hf^ ro^ICK ^MA*JZT gï-AA A TI fi ï ’ A f HO H T A y ! 0 A f f KA$C AJ I)$t4 C* AAflnfiîoAjî n« «M..
AaKA kÎmVa OAifyJRTGJ fKOATÎ ÜHTJAKttfA»
^JkVhiaî, k^eoh^a mi iutîuiîÏj 6ît£ hVaaoc ; ^TJIEyinui^X AT^HHI A/UTOA^A AAÙ^ Af M“
R^flfî KAÇf CT* Â MIAE tffAlZTGAJf :	1.)
:^T llî AÎH AX^HTJ^, AMI AA K^JAT KAJÈ CA 3ÎC llfHTJ$ XoAîf* K^l TOAT* CTJÏHIHÎHÏA,
'*• * f A ^.HC* A lî^Hf 25’—50 AI nÏTOjï
'A nxjtç'tlî AATfÇAAf AAI r*T^A^ï ) Ulï »J*W AT.*t4 ^njîîS^ÇilA E^EOM^l AHTjAKt^A^(, OàV KXÇK^HI/.Vf U1 . TA.
2- ) EfAÎMA^Aj*:
U ctika* nîtAT* ctfmiîjf : 8;. ^hijîï, n BIojHÎf aae* nifAT* ! • tj e^KAiAie Kojjoy ? » 2» Aja^mj. v->| Ta JT A J CtÎkÎî CA^ ÇMfTÎK Ô * n T*H
ï-

31 —
Hennissez soigneusement3c tout ensemble et pie- )f giKTpKT £t K^Va tUX Tl fi AK	filHl-
nezen la troisième partie pour eu faire un catapla- |j jA AlH <|>ïiUIK4^t TÇll V?8l(lï, AhCTtHZfif fit suie avec une des matières suivantes: prenez crotin ToflT| KJMf , UiJ m AÎKTf^KflAt A TC IA [)AÛTt frais de cheval ou fiente de vache ou caviar autant	# mC*$AHÏ OKATAflAAt** K«	Aîn
,„ il influa Po«r en M. «» «*#«• fl~ «^ÎU. VfMTM,, . .IMrS^W
appliquerez chaud sur la plaie ou bubon et y lais-	L ~ d .	* m •	►	1
11	1 ,	'	, i .	+*	Cn*T3l CAS Ai 8AK» , CaB iKfel Hir&f ATftf'lUET
serez 24. heures, enlevez le ensuite ; continuez ain-	. A	^	.	*	1
«i avec les deux autres parties jusqu’à 1> extirpation 84 4>* *H A*"»* ntHT^A*All • KATAnAAM»* qui doit avoir lieu Jimniauquablemeiit. Ensuite îl^KA^i ^0 EU ricHI	nt^HZ Ao fil EoECÜ
employez une emplâtre suppurative quelconque; di- oBIlAZtA AHJ 24	ÿ ISO
mimiez insensiblement aussi les premiers heures Tu- UJI <j>fc	AHf'k lOTAU'A Ull kV HIAt AAATÉ
mge de la poudre anti-choléra qui suit plus loin ,	fï2j l|l n&tiSI	Cl EA	KH?tir-
aillai que la glace qui ne sera plus alors employée r^ra Hé T^IE*f CB^fMf^l HirfliriT* Jütffi &m que pour rafraîchir les boissons et non pendant le i|^CTâ ^HT^IK^J	cf Ht ^AlttAACT^V bÜÇi*
tems des effets des purgatifs qui suivent:	||iTOf J AllKlUcfiyK ACI^IH'l ni’fcfcLtil^T! JfiH
1 • ) E.neto-cathartique, administré chaque a jour, M.fccfyi A^Îh™, *HTft K^HL-AJ-t n^A#!
AHTÎ-^C^A Atlflft KAJI Cl SA KCJBÎ , AU AU* ni Uti rÎAI|A KAfl AT^KHI H# BA Af.Al «p ^HTJI-B^lMIiATa A* K*T	lUKTftë AfKKOfî E*$?«
t^jai ; uii h$ sjiAii 6mj>ritï bVjaijf-
HïÎAof kaji tfpi^a :
1 • &MIT.0 * KATAfTiK Ml ce tt AA TCT AoX 3ÎAI* Ia. Tajta^ CTlEl’l
i) Ê/witÎh, aÎh aaaakA0* 2 rjAH^ï mi *5“. » 0KITJAKT Al 4>0Ï A* CtHA *• CKj\snVA. }> £Îh aae
j» AnSK^ATSy a!h $îiuiKAfi 2 . VkuÎï.
AiCT(K*A(, UJÎ £2 EOAHAB^A^Ï JK^A:2TATé 0AAT2> mÎ HI't AAAT* AA TOT C<pJT^A £C «MAI K*TI 0 AÎhrV^a /IMAta. ^	S*J-
;iaTVjÎAof A* koakab^a^î ca ad* paa^z Ca$ h4k> ^ÎHi^itK	cVi'itiji ; niMTjitf
4>fAUlAt rAl UÎ l.tHTfV* honil £clA t^ikVi
jca^ïl A«.AÏ AÎK2.
2. ) ToKiKO'MTAÇTÎK Ht Ci If.	tljjî
Ci CKIAIEZ AUMOfli ToT fit 2 . 3ÎA|.
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1A. €KIT^AKT A*	CI«HI
>» CT^r^T» a* «aai»
I»	t>	A» AAol C^KOT|Îh
)> ®KCtfAKT A* (AKAfEAfX 9} fiAAOAUA} AÎH ÿl»*RAp K*TI 5. Af A^M»
Reeipe . Tartr. stibié,
„ Emetine, ana grains 2 , et demi.
I, Extrait de feuille de serina 1 < Scrupul « Vin blanc,
?j> Eau pure, de chacune 2* onces/
Mèlez7 cforniez en au malade la moitié en une! fois et le reste chaque quart d’heure une cuillerée^ de table. Pendant les vomisserhens faites boire au dit malade de 3?eau tiède ou du thé chinois mais^ très léger. Pour les femmes enceintes et lesenfans; là dose doit être moins forte.-
é . ) Tonico - cathartique administré le lendemain 0& alterné de meme chaque deux jours y
Reeipe. Extrait de feuille de senné
s> Raisin de Jalap,
„	„ d’Aloê« sucotrin j
v~ Extrait de Rhubarbe , Calq^nel ; ana 3. drachmes
32
^ Dpiom i. sempibl.
. ,, Savon medical autant qu’il suffit pour en faire des pilules de4. a 6. grains; on y joindra la poudre qu’on jugera convenable ; on en donnera au malade deux pièces chaque 20. minutes, a 1’ effet ©n cesse ; et pendant ce tems on ne lui donnera que de la boisson mucilagiueuse et tiède, ensuite les acidulées encore a la glace ; observant toute fois la dicte la plus sévère. J’ai par ce moyen encore in «orm eu Europe sauvé la vie, j’ose le dire, â des milliers d’êtres pensants . . . T . .
Le Choléra n’ est souvent point oæmunicatif d
QflUl
certaines personnes lesquelles surviv^P a ses plu* affreux carnages ! . . . . Ces mêmes êtres aprochent touchent lesmalcdcs sans la moindre altération dans leur santé , et la chose est bien naturelle, vu qu* elle dépend du bon état de leur système lymphatique hérité de la vie vertueuse des auteurs de leurs jours ou du climat tempéré, infiniment étranger àjj sa funeste influence.
©ù le calorique solaire domine, leurs endémies sont,;	. -	#	«
sujettes à l’amie. Jl 'change bientôt de earac-jH* “Tt **rOT*A cq»l«* Ad r^HU* €t * 1ère, se coin mimique par l’attouchement, 1’ inspi-j
,» Oüïom 1. ck^iWa<	,
,, 0*nVH frOKTOfiCK ATXT K*T M
itHrftf a 4>ah* ^An^n A{AA *	§	aa^
AM/fctTA et 6A dAÏO^A n^A^A KAff et Bd CoKo-
tî KÿsiÎHMot; Aii<rpAi«cr'k et saaa eoahabV-A^n ,4*Tt 2 . K^Kaii-îr tôt a a 20 mJh$ti ; 4^na 4>oaoc et	; mi ^«rpAHit-ra
SJt.Mt H^ÎCtBAAd AAT Af KS'T
-ilAAriHOAtS Ult K4AA3
AA
AHffe HfAt A«,d-
toAft tot	rîaijx , nzy hA tôt a a^ha a»*
4 s4 Md-fl CTjlAUlHÎKX . ïlÿî* AHfCT A'.ïtK.'oK UK^HOCK^r ft*HX AH^M	ê^ÇOITA AAA ÎckX-
SIT BÏAIJA , no^ Sitl,	Ad^îw AE 4'*^*
rsiHAÏTôAjt ...
KoAtfd «Atftojii H^tt	aa tf«ï
4Îh OA.MtH] Mjï TÿStCK ll)î A^!<* TfA* «Al r^O^AKt	AAï Çl ....	OAASfH1
ex Aiifotiit , ATÎt r nt koahabï $xox h4 mai AAJKX IKiMEAÇi A c ‘!HX’ «1,1 AOç, Ul! A$K?$4 (CTi nj4 $î$tC« , ^ÎHA KXdTfeffS CXH»TA*f* ’f jdTSljHS AtAà K^MA CTAJâ 4 Cl T ! a î A!«tA î"l|
„ .	,	,	, .	------ ---------------- ÀtAA fel ..T^’oACA BIAU*
Mais dans les régions J	.
A USÿlHtylÀOf AOÿ CârS AA KAltfA T^V(\^AT%
h:A Aof HÎ <M/lOt|JïH$CK
ration de ses miasmes morbifiques &c ; c’ est de, 1* ignorance de cette grande vérité que les médecins et chirurgiens de Jassy viennent d’en être sans exception tous victimes, vu qu’ils se sont basés su» l’ignorance de ce qu’on ne 1’ avait point reconnu communicatif en Russie ; mais les seules raisons dé pendent incontestablement de ce dont nous venons de dire .
(IOÜDRE A N T L- C H O L B R A,
épileptique, spasmodique, névralgique , dyssentrique &c.
Si le fléau est choléra contagieux, outre le'traj
9A%Ajtt •. • .	A*,» -f flJOMHIjîî Al »(HA« KXA-
A^a coaajï AoAAHtijjc, enAt viii *f ACÿ CX¥T
C^n^tt A4 ©llÎAfAÛt • W^V-'IIÏ <*Î.WKX h&waÏ \fKAT KdfAKTt^A» tt ^nSjtTSUIAtjit fljTÎW A^Îh-,|(Ç£ , n^ÎM ^C^AAjii: AAlAtAAtAop EOAHXBISOA-•t Illi A. ^1H n^ÏHÎHA HtK^HOAlJJf|i A*!tfT^ «AJt AAtBXJ AoKTOfi Uiî	A*^a IaUI ,
Xf At AtOtiKÎjit dV ^OtT TOtjï ÎKtJTBf AAf KoAt|fi f 4>»»HA b* *ï fdVj>xyAiATnt Ht4iïi«rtj*
* ÂPÿlÎAH^ CAK^HOtK^T A* AÎntMOAtX, A^f ';BÎHTfAt tlKr^ff	yJkHAOAA*
A*«	“{ Ho| AM 3tC
IIPA4> AHTÏX0A6PA.
ênïAtnTÏK t CnAtAdoAïB i HtBjdAyïK, A*"
CAHTÇÎK Ul. H. A.
^AKA KiM^A OMOfKTOf ÇtTt Xç&lfZ A«VÎlOA*
- 33 -
tement qui $*st détaillé, donnez de quinze en quinze ) minutes le quart d’une des poudres suivantes, dolil je n’ai point cm devoir en parler- auteriéurement > mais de la quelle j’en avais fait cependant un emploi 'admirable à Samarcande avant la découverte de mon système de la glace; elle y suppléera sans doute dans le cas ou on ne pourrait se procurer cette derniere à tems.	\
Recipe. pulvis flor. Anthémis nobilis,
„ Submuriat - hydrargyri, ana diachm. 1.
„ Bella - donlia, scrupul. 1.
„ hyosciam. nigr. ,
„ Magister^ Birmuthi, ana grana 12.
„ Camphor. tritae,
„ Opii puri, ana grana 10.	»
7, Digital. purpurea, drachm . 1 . et semis^ „ Rad. Ypecacuanha, scrupul. 1. w Sal nitri dépurât. Uncia . Semis.
„ Sachari albi, Une. 1. et semis^
„ Ol. menthae piperit.
„	„ Yalcrian.
„	„ Chamomil ana gxittas 8.
M, fiat pulv. «tatec doat«y

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a$apa A* «*t«aVa TaM*A^îf*ï A«nf« Kaj>i c atf MTaa»zj»^Ht^f«, A*« A*H 15 15 MÏH^T^ffn a fiaTfa najiTi A^nfa^a Kdfi ^vi^a » Aicnpi «ayt «y K^fa^m xa 4>ah* tji-C» BOjiKItK Mari ^HdlHTt , K^TOaTC aSICT'fc:	â/A	O 4TfiE^îwi}aÿf MÏH^-
«aT* aa OaMapKaHA^ *, ^HaÎHT* Ai<Ut« tKoru|î cîcTtMA Mi xtf riatja. üiht nja$ sa CA$kj	.f Ao*aa ^aok}?a rtyï	wjiTaM»
naa^E k*ha anicra h# ci sa ntfrfe raeï.
la. n^a$ A*^aojï A* ÆhtimÎc hoeia,
C^EM^iaT—xïAfAfrlpî, aih amsihao*
k*t< 1. Af^XMa,
>>
Et
*â~
Vous diviserez une poudre en 4. parties , vous *n mêlerez une tel qu’il est dit à un peu de conserve ou fyrop, ou seule en buvant un peu d’eau par dessus pour aider a F avaler.
Celte poudre dont j’en ai communiqué la coin-! *	»	~ *	- *
™ .	.	•	,1 . "	, j'KoT KoHOCKrçT T^TAÛlÀOfi (jCTI COKOTlTj â*
position aux îatares, est aujourdinu considéré o h ' w	é *	*	0	# J #
titre la glace chez eux, chez les Persans et dans la ^^V	rlAlJ?) AA £1>	^ tUi
grande Arménie comme un bienfait delà providen- fïfMtHid	fiAO<j>A4fpt	AfijOHlt.l j
ce. . . ; car le Patriarche de cette belle nationjr,*H^f^ HdTylA^^A AHH|U1	HAl)il
vient de F envoyer circulairement a ses fideies cro-fî^A TfiMirt aK^M nÿiT^ii«A(Hii maa KjJAÎHto-
AOHa > 1. CKjtfntfa ,, XimmdM Htr^.
,, Æa^-ij» KitM^r, A*n<»AA*HAoa k*t«
12	rpaH^pï,
ff KdM<f>cf nïràT » 10 rpH. f, O iî^MK^yaT lOTÿaH.
„ ÀîrÎTaA,	AfA^Ma iui ctMÎï»
,, PhA, îniKaK^aHa 20 rpaH.
,, Oaa Hirpî A*n^ar» i?Hijia cimic ,
,, ^a^apaAEi !• tfHijïf uiIeiMÎc
,, Shtj MtKTf ninipTC
))	)> £idA(pldH. •
i,	» XaMOMÎa» AÎh ^ÎEiunafi k*ti 8*.
nî«*Ttfpï t
OacfMtCTtHê, ca ci $a«2 npa^, lÛAo^i» biï -f/wnafiji	ÂH ^ n®ÿij,ï, mi stï a-
M£CT(«a o napTi A^n*K^ Ca3Îc Kÿa^ijiKTÎn
kz A^AH'kija catfciji^n» catf mi ciwtfj e*ma
n^îiÎMTÎKa ana A^f^nj»4 ntHTj^ aaîK^Toja jlM-
riii/p-fe a^ï .
ilwf'-r nfd(f> dAKap^ia KinA<$aK^T AaMÿa«
34
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yants à P orient de I5 Europe comme un des plus! puissants antidotes contre cette abominable contagion , ignorant l’ existance de son auteur dans ces memes contrées.
Une des choses essentielles est de ne point perdre le teins lorsque la maladie sfc manifeste, admi-strez de suite la poudre anticholéra tel quelle est pre-- scrite. Nous sommes tellement persuadé de son efficacité que depuis six semaines que cette contagion étend ses ravages d’une manière terrible a Bucareste nous avens sauvé la vie à environ 1000. âmes
Ulî C8Ï	&A& Ç*(gçÎT$A ê^Jcnî KA
h*a mai ntf-rty*'!* ahtÎAot ^hb^otÎba	t|iîï
r,J»OAtMÎMI /ViOAlAU H( l|i! i H A K* îï)BOAÎTOji\lA Ci# Ci Aj>AZ TOT ^HTÇAHtCTt AoK^Çl.
Î5h^A ^î«l A^K^ÎAï ItAt Mil A* BXniTIHÏi (JïTt At A n'uyA* MÎmÎK BftM'fc PftHAGt AÇATZ KCAAA , Il H&MA] M K*T C* î ti A'k EOAHAB^-A\j?ï	AHTÎ ^OAI^ A^na Ca3Σ.
J^ttîlft ^OAOcVa A#ï Af$tA CttHTtA» £hkÇ(AÎ!*" IJAIJÏ, Kg .fHBJtME A < lUACt CgnTgAft^Hl A *
KMHA A^ fetTg MOaÎmZ .flUJÏ	OAHOÇ^ji*
tant pour notre compte particulier que celui|L{ çï A&	*HTÇ«H KÎfl Cn*lM*HT*-
de plusieurs négociants philanthropes Arméniens et,	^	^	m ^QOO. C^Ai-
Romano - Moldaves à qui nous avons communiqué;	•	•	a
.	,	**	^	, J Té AT&T G*	un a AUI ni kam iam ^hbbüat
les instructions de notre système ; enviai 10. sontj	^
mortes par la raison qu’on nVa âppélI^Bs secoursI qu’au but de i5 à 24heures après l’invasion de la maladie, c. à* d. lorsque les extrémités étaient déjà dépourvues de vie, le coeur paralysé ou asphyxié; et nous voyons avec plaisir que notre médicament nrest pas moins efficace en Europe qu’ il à été en Asie, puisqu’ il debarasse les malheureux malades en une â deu^ Ixeures- de tems d’une manière merveilleuse.
BEAUME PRESERVATEUR DU CHOLERA
*/? ‘
1 r. Recipe. Aether sulphur,
Olei menthae piperit. ana unciam 1 _ AlchoOl Vini, uncias 4.
Tinctor opii,
,, Mosch. moschifer. ana draclxm . 3 . Ole. Cinnamon.
„ Valerian
Cliamomil, ana drachm ■§-.
M. D. S. Prenez-en 15 à 3o gouttes par jour,| surtout le matin à jeun 10 gouttes, à midi, au soir sur du sucre,ou dans du Rhum ou autres liqueurs.’
Le suivant est de meme anti- choléra épidémi que, lie vr eux &c. et possède aussi beaucoup de ver-;
BÇf O 15 A$ AA^çÎt AÎh nfîlîwg Kg ANIMAT hoctç^ A^nx 15“ 17 ,N'fet^jï A^ng lOBÎpt , AAÎKa AT^HHÏ K*»A B*J<^fyÎAt MZ^ê-
AgfÎAOfÇjlA AAOAÇTC, lui ÎhÎaM CAgElTZ ^HIKATg.	A»^AliiAAÎj*t (lyinlM Kg A®**
10fÎA HOA£TÇg ÇïTt A1UA A* ^OAotÎTOAf*
fètfçona ka uii k^aa a $o£t .f h Utïa , niHTftf Kg ne HIHfcfOHjlji SOMME! BJ1 Alt A* a^? Ao*»k^NhkÎu aiIh^hat-
•feiiïOiUH an’LPiïTOF AexOÆ&Fii .
1. )ïa. ÊTfÇ. C^A^»^y f
tt <£ht a* ahhta nifiifÎTA A,H
KATt 1. ^Hljït )
tt Æakooa A( bÎh j 4. V?hi^Îï
»» TÎHKTOf. Onîï,
,j Afoiu, Afoiui^iji, a**4>*tu,KAM KjRT*
3. A^X"1 * tt Kht Af iiÎhamoai >
1) tt ÊdAt J/AM » tt tt KaMOMÎa AÎk 4,iiUIK4ÇI
SI A- 0. AÎH,rî<»HtcTA maa30*—40 ni Kg nt 3Î, a.*] k^ ctîAdg AÎAniHii}* nt HtAI*HKATI 10 nÎKgT^jï > Aâ ll^H^ f Ulî ffe» ÇA t n‘ -3a\AÇ Ca^ Ç^'m ÇÇ AAT» KgiMfyï .
SçAlZTOÇ^A ÇtTIAfJAUH’k KA*J^A1 ANTÎ)(0-
gAijA, enÎAfMÎK, 4>çir^ço< ui. a. uii Aft a-
K
A
S*
f
\
tus. JT se prend également sur du sucre ; les dames enceintes et les enfans ne doivent prendre que la moitié de la dose..
2. B E A ü M E.
Ree. Ole. Terebenthin. Venet. -mediarn Unciam „ Ntix moschat drachmas 2 .
I,	„ pimpinel. anisi, unciam 1.
„	» Menthae piperit. media in unciam.
„ Valerian -,
„ Cbamomil.
Cimamom j ana médiam drachm.
M . ï). S .
En Voici un troisième pour les pauvres gens pris particulièrement le Jnatin a jeun avec une cuillerée d’eatt_nnjl^au de vie et a la même quantité que les autres ;
Rec. Ote: Terebenth. Venet*
„ pimpinel .anisi ana nnciam 1.
M. O. 3.
Suite de F article de l’épizootie/ que nous n'avons pu traiter avec toute la gravite que cette matière exige , vu'la marche rapide de cette contagion en Europe ; et le désir sincèrement philanthrope de lui communiquer le fruit mature de notre expérience nous a seul porté à ne rien omettre pour; augmenter le domaine de la science qui est le juste héritage de nos descendante. — Ayant pu en faire ' une spéculation sordide, nous avons préféré la marche sacrée de l’humanité honorable que nous nous, sommes tracée à l’exemple des pères delà médecine et contribuer aux efforts constans de tous nos honorables collègues en ce monde.
U Epizootie parmi les animaux vient incontestablement du fié au délétère inspiré par eux, absorbe par la vegé^Chon nutritive dans sa croissance particulièrement ; o»&e 1* dépôt que laissent ses}
» 5 -■
(CttCK’l mVaTI	» âHUTA C« B AltMt»
H'fc nt 3d\ap ; AAAUAt rpoatt uiÎKenlï mVTj>(" fitf* CS » Af A<>$A ÎK^AHSTATI •
’ÛA AoÏA-t E A A C a <w .	'
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HAM n^T^TÎCXA TfdKTKM	T OATS rpt^TAT'fc
KAft ono$Tfljlf Alicrô MATtpît AÏH nfftjuk» ftntAU	AVi«M^|»AAI AlnÏHOACt .f"
ê^çonA ; uii Aoÿïÿ'k
A * aï .fnafTKuiï KoriT^A poA a,\ ÇtkruçïtHijïfï
HOAtTff J ClHrfy hW MÎUIKAT KA CS M« AZCSM HÏAIÏK fUHTptf A	nfonfïlVAT'fe I4iï î H LJ. t ï
KApt etTi ApinrA MoijJcHÎpt A%hAuiÎAop Hoqjpi. I$TXHA A $AHt K# A*HCA 0 CniH^AA^Ïf ifyfcTÎI,
H 01 amCokotIt m&imUat	Ht a 04» «ht
AA BpiAHHIl Ai MlHCTl OMtHÏpï KA^f Hl AAM fHCIAlHAT A^n* ni AA A nZfiMJUOÇ AoKTOpill,
uî AfAAAaorA aaciaîki^îac CTATopHÎit a ai
T^T^OJi TOBAjaUlÏAop HOIJijiî	AM-fccra
A&MI.
Sni^oorïA ^rpi AcWTOAMt bÎhi	.Jh-
AOAAÏ AI H kÎh\Ia OAItop«T0ÿ pactf^AdT At eAfce^
iflî CojkÎt Ai RiytTAijïA X9*^àÊ0^^H Kt*
qjip'feCA mai îtfcaaVha|4
^parties animées destinées k leur ftmeste progéniture qu’ avale ensuite F animal, et la chaleur de son esto mac produit en lui le phénomène meurtrier ; outre leurs piqûres à la superficie de son coi'ps. D’au très iusectes moins vénineux, produisent de la nu me maniéré sa détérioration lymphatique d’ou vieil lient les maladies psoriques ? lesrasgL. ôte. Car le beaux paturagesoù j’ai vu tant^BRiliers d’animaux périr , ne pouvaient leur occlw'ier la mort que
i	•	»	*
par les raisons avancées. JVÿjfs pour obvier à ce
?mmes, il n’y a qu
malheur communicatif aux
le moyen dont nous alon&JÉJF&poser qui puisse ave ïe tems^detruire insensij^^nient F Epizootie : ce se rait de reunir.leslierbes sauvages ouinutritives, le brûler , joindre a l^urs cendres celles des habita lions des particuliers t les semer dans^ktems pli Vieux sur les prairies ; leur causticitéin dubitablement les semences pernicieuses en question et rendaient en même tems la terre plus fertile, ei observant toute fois de n’y laisser paître qu’ âpre quelques pluies.
F I N

3	■
Pressés par les^rconstances actuelles, vu le bio que nous avons i .coeur de faire a ],, aocieté, non donnerons dans les,-éditions de Paris et d’AllW ***** preuves irrévocables attestées par les plu puissantes autorités dans les lft,„ '	,.	. .
rend», le, .ervico, le, pl„,
*> »™« 1» le lecteur vuu
«ra bien user d’iiidulsenee -! 1> '	, , „
,	,	, 'uu*oe»cç a 1 egard des fautes qu
-»e sont ghssees dans cet ouvra-e	,
v„„„ „„ .ouvrage, vu que nous ribinons considéré k la hâfî. j
■ 36 -	...
It vues flS^lAI C4AC HIAI 4HC$$AtllÎT< %<>" rXfXTt Cnjit rjo^Asa aoçi NAijitjit t ni kaJi At
MXHXHKX A^nx AMft AOKÎtOK^A Ulî KXAA^A CTOAHAX^A^l C*^ HAt|J£ eJtH ÇA ^IHOMIH^A 0AAO"
j>*Top» ni A*«rx ÂmjïftxçiAi niAAc$nf>4
rjtfn&itfi aoJ . iIati Îhcikti ( r*HrXHÎï ) mai
n^l}ÎH BmiHATI TOT ÂHTf AHIfT KÎn njoA^K
CTflHAfi AOf AÎal^ATJKZ , A*
îOAAfAl AOj> ntOfÎHI, 81 panî Ul. A; HtHTftf KZ IXuWhÎAI HlAC E$HI	AM BX5$T ni^HA A-
xrfc mÎÏ'A* AoeÎtoahi n^T'fe c* Al n^ini-Wm'hX *oaçt4 A< k*t A^nx KÿBiHTiAi 3ic* aaÏâ^aihti.	niHTfÿ aokoaÎ ah^itx
mi ex uji<vinaçT3tujAipi oAMiHiaofj
Çcvi AAT AlîîKAOK AfK*T A11A A Kdfl ifOfltf Ht V\ MOI KAfl ex noATX BjlfMI CTXJM u Nttitwijin fîni^ooTiA: amiita çcti ext*
CTJ*erX ÂhTÇ^HAOK ftyElAC CXAEATiHf Cd\?
f X^XhÎToAÇI , ex Cl Ajnj* , AA Minolta AoÇ CX ci aAAoyi iuLhih&ua kacmoç nAÿrÎK^AÎîçî'op, ex n ciAiiHt Âh BÿiAïf nAoîoAcx ni aibi^ï ; n^tifi cï M’t m/hkxtoaçi	â«Aom*x a}
CTIflli CtMÎHIjÎAf **IAI CT(fï<TseAff A£tn5lt
KAfl GcTIBOÿKA, Ulj TOT uf.HTf AM*fe B Al Ail dp 4>AHI nXMXHTtfA. AAAÏ ÇOAÎTOfs nX^tHA TOT A A^HA KA ex Cl Aaci A nAlfll 4M! a^ M*xt A'-nx oAÇfHSTiBanAoî.	C^XPIUHT*
GTf^AATOÇAtiï 4>ÎÏhA Af fnflJK^XçiÀI A* A“
AÏH npfÏKd bÎ^IAVj KAfl ABIAA Â* îhîatx CXA (fidHCM tOlJIITXllï s  ^A'^tlAI AÉ lafïc U)t Al rijlAAArtÎA 60AA AA A<>B*y MIT»" raA^ïrt un Â1^Ç,T| Ai CTxns,HÏfïAi mi ai
,M»Ï ^HAA^I ^AoK^fÏAI ^hA* ^AMIfÏAI HOACTÇ* \{ ejhI AA-* CA WEtA* MfAf AAal ^OAOClTOA-*
(n o/MiHÎj>iï • ÆfiAHH-fc hxaxjra^î^
MÎTlTOf^A 84 KlHI B0( A IfTA TÇIUIAAIAI Tl-llorfA^ïfï KAfl CA\? fTÇfK^ÇAT ^TfA M-fefTX KAf-tl t AΫU^h*h* «*îrÇAKX HAMCOKOTIT AAT Al KZT A t A	K*T t& n^T MAI M^AT 1
C^AT^ÎAI MOAIT^I HIAt MAHt^ÎT04§s«.